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    LA GRANDE HYPOTHESE 5): "Les rescapés de l'Ahâ-Men-¨Ptah."

    vallée de rois: soleil couchant

     

     

     

    Preuve Atlante Yonaguni FR Site pyramidale submergé

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    Voir texte: la "Voie Sacrée des Gravures rupestres" P. Benoît y place l'Atlantide!


    La Bible est présente  parmi les grands mythes de l'humanité, mais le mythe de l'Atlantide représente beaucoup pour moi.

    Je l'ai découvert en lisant les livres d'Albert Slosman, la grande hypothèse, le trilogie des origines (le grand cataclysme - les survivants de l'Atlantide - ...et Dieu rescussita à Dendhéra), la vie extraordinaire de Pythagore, Moîse l'Egyptien. Dix livres étaient prévus après Moîse, mais cette série a été interrompue par la mort de Slosman en 1981. Le dernier livre que Slosman avait prévu devait s'intituler l'Eternité n'appartient qu'à Dieu.

     Dans les autres publications, on trouve l'astronomie selon les Egyptiens, le livre de l'au-delà de la vie et le zodiaque de Dendhera.



     

     Ma lecture de "La grande hypothèse" va porter surtout sur le grand cataclysme qui est sans doute une autre façon de voir le Déluge de la Bible. Je crois que tous les grands mythes de l'humanité parlent de ce qui a dû être une catastrophe naturelle que la terre aurait subi il y a 14000 ans selon Slosman. Les 3 grandes pyramides d'Egypte et le Sphinx seraient selon lui un témoignage des survivants de ce évênement à l'adresse des générations futures et un avertissement qui a un écho particulier aujourd'hui où on parle de plus en plus de fin du monde . L'émission de la chaîne 4 (apocalypse en 2012) est significative à cet égard.

     

    De "la grande hypothèse", le Figaro écrivait alors: la "construction qui s'acomplit devant nous est peut être un des évênements de notre temps". Et Slosman le définissait ainsi: "c'était en définitive une histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'éternel était Yahvé, mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures! A chaque ère céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".

     

    "C'est une Histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'Eternel était Yahvé mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham, mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique Créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures. A chaque être céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".    Albert Slosman

     

     

     

    Sommaire de mes messages:

              1)   Le hasard existe t-il?

              2)   Le destin s'écrit-il aussi?

              3)   Le grand cataclysme.

              4)   L'âme Atlante n'est pas perdue.

              5)   Les rescapés de l'Ahâ Men Ptah.

              6)   La résurrection de Ptah à Dendérah.

              7)   A la découverte du grand labyrinthe, le Cercle d'Or.

              8)   A la découverte de Dendérah, l'ère du Taureau

              9)   L'ère du Bélier: Moïse le rebelle et Dieu oublia l'Egypte (Cambyse le fou).

              10) L'ère des Poissons: Jésus le Christ.

              11) L'éternité n'appartient qu'à Dieu - Pour notre temps.



    LA GRANDE HYPOTHESE 5): "Les rescapés de l'Ahâ-Men-¨Ptah."

               textes 

    "Mais une autre supposition chimérique peut-être, mais par cela même séduisante, associe les Berbères à l'Atlantide, ce qui impliquerait une poussée d'ouest en est, et non le contraire!                                                                                                            E.F. Gauthier (Le passé de l'Afrique du Nord).

    Qui ne sait que vous êtes les complices de ceux que Dieu a fait mourir lors du Cataclysme? Vous êtes de cette race de pharaons qui firent les rois d'Egypte! Vous êtes de la race de Sodome et Gomorrhe et de tous ceux qui ont lutté contre Dieu par incrédulité depuis le Commencement!                                                        Shenouda Le Mystique (Papyrus copte du Vèmè siècle).

    Le chapitre 3, le grand cataclysme se termine par ces mots tragiques:

    C'était la fin de tous et de tout! La capitale et le continent tout entier s'affaissèrent rapidement sous l'eau!...

    Ce fut le 27 juillet 9792 avant notre ère, et cette date est certaine grâce à la carte du ciel gravée au plafond d'uns salle du temple de Dendérah, plus connu sous le nom de "zodiaque", dès le moment de sa découverte par les savants qui accompagnaient le Général Desaix lors de la campagned'Egypte, déclenchée par Bonaparte.



    Les rescapés du grand cataclysme

    Après l'hébétude, la souffrance et les recherches pour trouver d'autre survivants, les rescapés de ce qui fut l'Ahâ-Men-Ptah commencèrent de s'organiser en la Ta-Mana, la terre où ils avaient accosté (Le Maroc selon Slosman). Ce fut la première idée qui surnagea du cataclysme: vivre le temps d'avertir comme il le fallait les générations à venir qu'un pareil malheur pourrait survenir à nouveau faute d'obéir au Créateur de toutes choses. Les premiers Conseils des Anciens, qui réunirent ceux qui avaient échappé sur leurs "mandjits", grâce à Dieu, recherchèrent les moyens de retenir la leçon du passé. 

    Le Pontife du Collège des grand-prêtres avait assez prédit ce qui était arrivé: à eux de tirer la dure leçon de leur égoîsme et de leur impiété. Toute punition divine pouvait être rachetée, mais il convenait de calmer la colère par une obéissance aveugle, car c'était Dieu qui avait voulu que les survivants comprennent enfin après leur désobeîssance envers lui, le seul Créateur de la Création.  Mais l'heure n'était plus au désespoir, puisque la Renaissance pointait à l'horizon de chaque aurore, avec l'apparition du soleil, à l'orient, et non plus à l'ouest, comme éternel rappel de renouveau qui était survenu dans la même région des Douze: dans la constellation du lion. Ousir-le-Ressuscité (Osiris) avait siégé quarante-deux jours durant, afin d'asseoir la nouvelle multitude dans l'obeïssance aux commandements de la Loi Divine, représentée par son fils Hor (Horus) qui deviendrait ainsi le premier descendant de l'Ainé. Il serait suivi d'une longue lignée de pêr-Ahâ (pharaons), si ceux-ci consentaient à rester les Fils-de-Dieu, durant le long et pénible exode qui se préparait vers une terre promise: Ta-Meri. Ce lieu deviendrait, lorsqu'il serait atteint au bout de l'horizon de l'est qui rejoignit celui des Couchés: Ath-Kâ-Ptah, "le deuxième Coeur de Dieu" (l'Egypte). Il unirait alors la Terre des Cadets au Ciel des Aînés, pouvant ainsi renaître de ses cendres et de la poussière. Mais la Foi ne se perdrait-elle pas de nouveau, détruisant les efforts de ceux qui savaient que l'homme courrait vers sa perte? Si quelques âmes s'insurgeaient et continuaient de se rebeller contre la force divine, nul ne pourrait survivre à la discorde qui en résulterait! Les anciens décidèrent de la forme générale à donner à la nouvelle religion qui serait celle de l'exode. Il était primordial que la race humaine survive puisque la Terre était sa possession. Il fallait donc que, dès ce jour, chaque être se sente surveillé par Dieu pour chacun de ses actes, par la variété des facettes de l'univers représentant la Création et qui et qui en seraient les reflets type. Ainsi, l'âme se sentirait épiée et jugée implacablement pour chacun des ses actes, bienveillants ou malveillants.Si elle avait failli, elle serait irrémédiablement rejetée, mais si elle était rentrée pure, elle survivrait éternellement. Ainsi, une éthique réglementa sévèrement les commandements de la Loi., il serait temps de tout réviser lorsque la multitude serait parvenue dans le Deuxième -Coeur-de -Dieu.

    Exode

     Et le grand départ se fit au temps prévu par les configurations célestes, calculé par les Maîtres de la Mesure et du Nombre qui figuraient parmi les rescapés. Une grande cérémonie de remerciement eut lieu devant huit prêtres portant une "mandjit" sur un brancard à hauteur d'épaules. Un sanctuaire y était construit, qui contenait une relique d'Ousir ramenée de Ta Ouz, ainsi que ses vêtements. Symboliquement, les prêtres regardaient vers l'ouest, là où étaient couchés les '"bienheureux endormis" de l'Ahâ-Men-Ptah. Le Pontife leur faisait face et tenait dans ses mains un pot symbolique contenant les cendres d'une dont la flamme ne s'éteindrait qu'à l'arrivée en Ath-Kâ-Ptah, le deuxième Coeur-de-Dieu, leur future et seconde patrie. Il devrait en aller ainsi, chaque matin où Ptah ferait apparaître Râ dans toute sa splendeur, avec l'or de ses rayons lumineux à l'est, obligeant tous ceux qui prieraient à fermer les yeux afin de ne pas être aveuglés. 

     

    Cérémonie: voir photo la grande hypothèse page 86

     De même, chaque soir, avant que le globe solaire ne disparaisse au-dessus de la mer qui avait fait un énorme linceul liquide de la mère patrie, la fervente invocation à Ptah devait permettre à Râ qui disparaissait au-dessus des millions de morts de les réchauffer, tout en permettant aux vivants de reposer leurs âmes en paix avec Dieu. Mais, lors de le prière du soir, le Pontife et ses prêtres ne fixeraient plus le point où ils trouveraient la terre promise, mais l'ancien continent, en lui présentant précieusement les cendres des ancêtres, ranimées par la nouvelle flamme qui ne s'éteindrait que lorsque la nouvelle Alliance avec Ptah les aurait ramenés sur la nouvelle patrie!

    Zenaga illustration wiki

    Le malheur, cependant rôdait autour. Il était personnifie par les rebelles issus de Seth, qui eux aussi avaient échappé au grand cataclysme. Ils avaient formé leur clan, plus au sud, et les luttes entre les deux tribus fratricides reprirent ainsi.Les traces de ces dure batailles se retrouvent tout au long de "la voie sacrée des gravures rupestres". Comme à Ta Ouz (voir mon article l'âme Atlante n'est pas perdue"), ce ne sont pas quelques dessins qui sont gravés dans la pierre, mais des centaines de milliers tout au long de cette ligne imaginaire qu'est le "tropique du cancer" (photo page 88 dans "la grande hypothèse"). Ainsi en  fut -il dans cette contrée montagneuse désertique dont le seul passage frontière avec l'Algérie était le col de Zenaga. Là, les deux clans se rencontrèrent et luttèrent farouchement, laissant des gravures rupestres remarquables en souvenir de leurs passages et de leurs combats. On peut imaginer la violence de ce duel fratricide entre ceux de Seth et ceux d'Ousirs soit les "Manistiou ou les "Forgerons d'Horus",  contre les contre les "Râ-Sit-Ou" ou les "Rebelles de Seth".En mains endroits, les gravures se superposent aux précédentes, prouvant que les premiers habitants furent dépossédés par les envahisseurs, qui grattèrent les grès, les burinant à coups de silex rageurs. Ces surproductions sont sont presque de grandeur naturelle, dépassant souvent le mètre de hauteur. Tous les corps humains sont porteurs de têtes d'animaux, de béliers ou d'oiseaux. La zone du Hoggar est prolifique à cet égard. 

     

     

     

    Ainsi, les Rebelles étaient solidement implantés depuis plusieurs décennies au nord de l'endroit où cheminait la multitude des descendants d'Horus cheminait. Sous le règne assagi d'un roi nommé An-Sit-Râ, ceux de Seth avaient proliféré en un endroit verdoyant qu'ils cultivaient paisiblement. Mais son successeur, Bak-Râ, tyrannique et sanguinaire, ne cherchait qu'une occasion de prendre une revanche guerrière. Elle lui fut donnée par l'avance de la troupe "ennemie" qui, prétendit-il allait les détruire. Il fut le premier à choisir pour emblème l'épervier prêt à fondre sur sa proie. Leur village était établi sur la rive sud de la Sâ-Ou-Râ , ou "l'eau brûlée par le soleil" alors que ceux de Ptah avançaient sur l'autre rive, à quelques journées de marche. Ils indiquent qu'au soir, alors que le peuple était repu de viande de buffle, le soleil disparut derrière Tamana, vers l'endroit où reposaient les bienheureux, dans l'Amenta. Ce qui fit dire au Pontife que l'endroit où ils venaient d'arriver s'appellerait Ta Mentit, le "lieu-Espéré-du-Couchant", qui mélangeait le lieu d'où ils provenaient et celui où ils se rendaient Ta Mérit. Le lendemain, le Per-Ahâ prit les décisions utiles qui s'imposaient  et fit preuve de génie organisateur, il éparpilla les clans de son immense famille tout au long du fleuve. L'affrontement eut lieu et fut assez inégal, la force des armes revenant aux "Manistious".Les armes des rebelles étaient redevenues primitives faute de métal, amis à la force des bras ils alliaient la ruse développée lors de la chasse aux animaux rapides comme l'autruche ou la girafe en restant des adversaires redoutables. De part et d'autre, les blessés revinrent pour raconter la puissance dont disposait l'adversaire. Les forgerons d'Horus fortifièrent leur campement et contre-attaquèrent bien plus tard. La chronologie se rétablit grâce à ces dessins, car des têtes d'hommes sont superposées aux précédentes en une troisième gravure  et cette troisième main ajoute une que de lion ceinturant la taille. En premier, il y eut un "suivant d'Hor", Puis un "Râ-Sit-Ou" adorateur de soleil,et enfin, juste retour des choses , de nouveau un "Manistiou". A Ta Mentit, il a été retrouvé plusieurs statues taillées dans les roches basaltiques du site qui remerciaient Râ de la victoire des "Rebelles de Sit" (une tête de bélier est visible au musée d'Alger). Il faut savoir que le nom  "sacré" de Sit, mort au couchant, fut Amen, (d'Ahâ-Men-Ptah), l"Ancien-du-Couchant", appellation donnée au bélier qui, avec ses coups de boutoir, a symbolisé le premier Rebelle et ses victoires sur Ousir et Hor, comme si la force vive de Sit s'était réincarnée dans tous les béliers. "Amen" devint l'espérance et la foi dans la puissance du soleil pour tous les "Râ-Sit-Ou" s'augmentant plus tard de la dénomination de l'eau, car ce fut Râ qui protégea les fleuves du désert pour que chacun se désaltère. La Berbérie, la Kabylie et les Touaregs conservé ce nom, "Amen", pour désigner l'eau, encore aujourd'hui. (A. Slosman dit avoir soigneusement retracé cette "Voie sacrée", grâce aux milliers de dessins et de gravures rupestres: voir la Grande hypothèse" page 91). 

    outils de trépaneurs

    Plus tard, une deuxième bataille fut très meurtrière, car les deux camps se retrouvèrent également armés, les "Rebelles" avaient une ample moisson de haches et de pics lors de l'invasion précédente. Après ce choc très sanglant, les adorateurs de Râ furent chassés plus en avant vers l'est, dans un autre désert. La multitude de Ptah reprit vers l'orient où les implantations actuelles de Kabyles et de Targuis sont les rejetons des aînés au même titre que les Berbères. Ainsi naquirent les célèbres "Ser-Kers", les "ouvreurs de crânes", corporation de trépaneurs qui s'établit dans l'Aurès où elle exerce encore de nos jours, avec les mêmes instruments qu'il y a dix millénaires. Dans cet endroit où la population d'Ousir séjourna plus longuement pour reprendre force, les gravures sont plus fines et mieux incisées. Le calme permit sans doute à cet art de se développer, les "Rebelles" ayant fui jusqu'aux contreforts de Fez pour reprendre haleine. Une anecdote dit que l'Homme Vainqueur réussit à domestiquer un faucon. Il prit le titre de d'Hor-Deux-Fois-Vainqueur, car son faucon avait tué un épervier. Le faucon devint à ce jour l'emblème du descendant. C'était dans l'ordre des choses de s'allier à l'harmonie céleste. 

    Les groupes scolaires oraux répétaient sans cesse le Savoir qu'ils avaient consciencieusement emmagasiné au fond de leur esprit, sans rien omettre ni changer, bien qu'ils ne comprissent plus guère les phrases, celles-ci perdant déjà leur signification originelle dans la brume épaisse des matins nouveaux. Le Pontife, à qui était réservé la classe des initiés adultes qui formeraient ceux qui légueraient aux générations ultérieures les éléments sacrés destinés à rétablir le Collège de formation des Grands-Prêtres, répétait sans cesse les mêmes phrases, arguments et commentaires, les ayant lui-même appris de son père. Il ne réservait l'ultime chapitre que pour son fils aîné, comme cela s'était produit pour lui et pour tous les aînés des Pontifes qui l'avaient précédé depuis Ta-Mana. L'enseignement ne valait certes pas celui des temps héroïques, mais ceux qui portaient la robe blanche et avaient la tête rasée étaient dévoués à leur tâche ingrate de formation spirituelle des esprits hélas fatigués et bien trop préoccupés par la marche hallucinante, pour s'occuper de la vie future de l'au-delà de la Vie pourtant plus importante.  Ainsi, l'unique élément secret consistait dans le guidage de cette foule selon un axe ouest-est intangible dont il fallait conserver le cap, afin de parvenir à l'endroit promis par Dieu. Il s'agissait d'un appareil "simple", construit en Ta-Mana dès que l'idée de l'exode avait germé. Il était en fermé dans un chariot dans lequel seul le Pontife pouvait pénétrer. C'était une large coupe pleine d'eau dans laquelle nageait "un objet" en bois de sycomore: le "gô-men". Ce petit cylindre permettait de suivre un cap calculé à l'avance sans aucun risque de déviation! Les entailles qui y étaient faites étaient les repères de toutes les destinations du monde connues de cette époque. En cet endroit du Sud  algérien, s'implanta antique d'une nouvelle école médicale, chargée d'opérer le blessés à la tête durant les rudes batailles, par les coups de masse, de lance ou de hache. L'anatomie était à l'honneur et nous possédons un traité de 300 feuilles, datant du fils de Ménès, le deuxième roi qui régna 4000 ans avant notre ère, dont la moitié du papyrus se trouve au musée de Berlin, et l'autre au British Museum. Des opérations telles que la trépanation ou la césarienne y sont minutieusement décrites. Les méthodes et les outils spéciaux se transmirent de père en fils jusqu'au début du 20ème siècle, ainsi que l'atteste un écrit du Docteur Verneau; "la trépanation dans l'Aurès".

    Il existe encore un petit peuple de trépaneurs aux moeurs médicales bizarres qui vient on ne sait d'où; qui pratique cette singulière opération du trépan on ne sait depuis quand; qui l'a apprise on ne sait de qui; et qui, toujours sauvage et inaccessible aux idées modernes médicales, nous étonne par sa hardiesse opératoire et par les succès obtenus!

    C'est certainement de cette première école  qu'est parti le grand principe de de l'égalité des blessés devant la souffrance. Les textes abondent sur ce thème. C'est à partir de ce passage qui précède l'entrée dans l'Au-delà de la Vie terrestre, que l'âme reprend sa valeur primordiale. Tous les grandes thèmes du monothéisme partent de cet évènement.Ce n'est que celui qui aura pleinement vécu dans la justice et la bonté et en toute pureté, qui se rendra directement chez les Bienheureux, possesseurs, et eux seuls, de la Vérité éternelle. De là est née la prescription de "l'ouverture du dessus du crâne", afin de préserver les enveloppes charnelles douées d'une parcelle divine, de l'un ou l'autre clan. Une fois guéries, ces têtes pourront mettre leurs âmes en règle avec les commandements divins! Ainsi Dieu restera le seul apte à en juger.

    embaumement (Louxor)

    Les siècles ont passé, l'approche de la Terre promise se précisait, les familles essaimaient en gardant leur originalité. A certains endroits comme dans le Fezzan, la lutte a été telle qu'il ne reste rien que le désert hormis quelques gravures (pourtant des archéologues italiens y ont mis à jour des trésors, y compris des momies, ce qui prouve qu'en parvenant aux portes de l'Egypte, les rescapés avaient introduit non seulement la trépanarion, mais aussi l'embaumement). C'était encore un oasis de fraîcheur avant que cette terre ne devienne un désert. Des espèces de toutes sortes y vivaient en bonne intelligence et furent reproduites sur les parois: éléphants, rhinocéros, girafes, crocodiles... L'étape dura plus longtemps que prévu pour les Rebelles, mais il était temps de tenter de ravir le "Deuxième-Coeur" à leurs ennemis. C'est là, à l'entrée du Fezzan, alors que les "Manistiou" y parvinrent, que s'éternisa le choc terrible, bloquant les deux clans sur leurs positions comprenant une cinquantaine de kilomètres. (Un défilé de 60 km, sinueux et presque infranchissable, interdit l'accès à l'oued Mathendous. Ce fut là que les descendants prirent le nom de Garamantes, cher à Hérodote, qui garde sa signification à Garama de "double lieu sacré du soleil). Sur les gravures les personnages deviennent "animaliers", et les deux géants sont définis par un épervier et un faucon. Leurs descendants sont indiscutablement "les Adorateurs du Soleil" et "les Forgerons d'Hor". A partir de cette époque, ils figurèrent par cette appellation qui devint vite mythique. Les splendides sculptures ont la particularité sacrée de se retrouver empourprées par les rayons du globe solaire couchant, donc à l'opposé de l'horizon occidental. Cette pratique, manifestement intentionnelle, se retrouvera sur tous les sites funéraires pharaoniques durant les quatre millénaires suivants, sur les rives occidentales du Nil, là où le soleil s'endort sur les parois rocheuses. Ainsi, alors que les ancêtres, ceux qui reposent "bienheureux" dans l'Amenta englouti par "le Grand cataclysme", de l'autre côté, sur la rive occidentale céleste, et qui se réveillent lorsque l'astre du jour disparaît aux yeux de ceux qui vivent dans le "Deuxième-Coeur" de Dieu, voient durant les quelques minutes où le globe flamboyant éclaire les deux hémisphères, les gravures prendre vie! Ainsi est dessinée la vie de tous les jours afin que ceux qui sont au-delà de la Vie soient tenus au courant! La mobilité de la descente solaire fait évoluer les ombres avec une rapidité déconcertante sur le grès, , faisant revivre, se battre et sortir réellement victorieuse cette armée qui resurgit ainsi vivante, au-delà de la nuit des temps! Mais ces instants inoubliables sont trop brefs, car la nuit, à ces latitudes, descend rapidement. L'impression n'en demeure pas moins extraordinaire. 

    Ce qu'il est difficile de comprendre, dans ce dédale chronologique, c'est cette lutte fratricide qui opposa les deux membres d'une même famille, issue de Geb et de Nout, durant les millénaires qui précédèrent l'arrivée en Egypte et qui se poursuivit jusqu'à la destruction finale des deux camps sousCambyse, en 525 avant l'ère chrétienne.

    Le mythe de Sit et D'Hor si intégré à la vie quotidienne dès l'implantation  en Ath-Kâ-Ptah, qu'il s'y était déjà changé en un symbolisme religieux, qu'il fait penser à notre monothéisme chrétien en passe de devenir polythéiste. La religion de Ptah, qui fut rétablie à la naissance du premier roi de la première dynastie, se rapprocha de  la vérité ancestrale originelle. Mais elle obséda l'esprit des deux groupes rivaux et l'univers de chacun fut d'une conception opposée à celle de l'autre. La lutte fratricide se prolongea de plus belle en Egypte, puisque la distance (800 km) séparant ceux de Ptah à Dendérah de ceux de Râ à Héliopolis, ne fut pas suffisante pour l'interrompre. Cette haine hanta et ensanglanta toutes les familles pour une accession au pouvoir divin. On en voit l'écho gravé sur les temples de Karnak, Oumbos, Abou-Simbel et Dendérah par les passions déchaînées par Ramsès II, usurpateur du Per-Ahâ régnant, qui institua la XVIIIème dynastie selon la chronologie de Manéthon. Son nom fut Séthi, ou descendant de Seth, le premier d'une lignée de 13 souverains portant le même patronyme. 

    Cela était dès le début, lorsque Ménès, unifiant les deux terres de Haute-Egypte et de Basse-Egypte, s'installa à la base du delta du Nil, et édifia l'Ath-Kâ-Ptah, le "second coeur de Dieu", dont la capitale fut appelée plus tard Memphis par les Grecs. A la dynastie suivante, un "Sit" reprit le sceptre, voulut garder le même nom, mais les prêtres l'empoisonnèrent et il en réchappa et eut gain de cause. Quelques décennies plus tard, un "Hor" revint au pouvoir, il renia ce nom qui était pourtant de son clan, pour introduire celui de Ta-Nou-Hit, "le-lieutenant-du sycomore-de-tout" qui devint un autre nom de l'Egypte: "Terre des Sycomores", dès la IIIème dynastie. Les Grecs en tirèrent Danaos, image d'une autre façon du "Naos" où était planté le sycomore sacré qui avait permis autrefois la venue d'Osiris. Puis, ce ne fut plus alors Ptah contre Râ, mais Amon qui fut en lutte ouverte contre Aton, l'apogée en étant l'empoisonnement de Aménophis IV qui, sous le nom de Akh-En-Aton voulut détruire Amon en construisant une autre capitale et en interdisant le culte de l'idolâtre Dieu Bélier. Tout cela s'est achevé par l'envahissement des conquérants et la destruction non seulement de la civilisation présente à ce moment là, mais également celle des temps passés! Rien ne subsista de solide que le sable n'envahit à son tour. 

    Mais bien avant cette épreuve définitive, la longue marche, qui avait duré 15 siècles ponctués de luttes fratricides avait permis tous ces longs développements des moeurs. Ce fut presque à l'arrivée en Ath-Kâ-Ptah, qu'eut lieu le dernier combat, à la frontière extrême sud-est  Egypto-Lybienne, dans un épuisement généralisé des deux camps: les "Manistiou" et "les Râ-Sit-ou". Les "Forgerons-d'Hor", mieux équipés rejetèrent les Rebelles épuisés vers le Delta du Nil au nord. Le descendant qui fut le dernier  camper à l'étranger fut un femme, le Per-Ahâ n'ayant eu que des filles! L'aînée, Mout-Per-Ahâ fut ainsi appelée à régner. La belle description de cette arrivée sur le Nil est en page 88 de "la grande hypothèse". 

      En quelques siècles durant lesquels les principales provinces, les "nomes", émergèrent presque toutes ensemble, la civilisation s'implanta tout au long des mille km du "Fleuve céleste", mais séparée sous des sceptres. Pour le "Royaume du Nord", celui de la basse Egypte, le delta du Nil était asservi par les "Rebelles de Sit". Dès la première dynastie unifiée, Pa-Ouet fut la première localité dont le nom ait fait souche, sur la côte, mais à l'écart de la zone marécageuse. Elle devint la résidence des premiers rois" Roseaux" et prit plus tard le nom grec de Bouto. Le seconde fut Pa-Asit (Pa-Ousir après l'unification),où le temple de Soleil devint celui de Ptah. Son nom actuel est Abousir et outre son temple des premières dynasties, on peut y voir  les trois pyramides de Gizeh. La troisième ville prédynastique importante fut Pa-An-Râ , le localité sacrée des premiers prêtre officiels du Soleil, dont le collège fut calqué sur sur celui du pontife de Sud (Dendérah). Elle prit un intérêt complémentaire lorsque le 32e  "Roi du Nord" décida de s'y installer lui-même. Cette ville devint alors Kemti, dont les Grecs firent Saîs. La désaffection de bouto provint de la présence nauséabonde de marécages, source de maladies infectieuses et même de la peste. Le dernier roi à venir vivre dans cette région plus fertile fit sa soumission aux "Manissioux" du Per-Ahâ Shésou-Hor. Ce traité de paix, le plus important de tous les temps, eut lieu 217 ans avant l'entrée du Soleil en Taureau, "l'ère de la Résurrection d'Ousir". En cette période, le Roi des deux terres, du nord et du sud, de l'Amenta à l'occident et d'Ath-Kâ-Ptah à l'est, (donc le Maître des Quatre Temps de la terre et de l'Univers), fit en l'honneur du Dieu Unique Tout-Puissant qui avait permis cela, des réalisations colossales qui, en remerciant le ciel et la terre, donc l'Humanité et la Divinité, en une Alliance qui devait être indestructible. L'histoire de ce peuple élu commence donc réellement à cette époque unifiée, deux siècles avant que Ménès n'ouvre l'ère dynastique en 4241 avant Christ. 

    Mais ces mélanges divers ne formeront qu'une seule nation le jour où le porteur d'un seul sceptre imposera son pouvoir héréditaire issu d'Ousir, dans une monarchie théocratique, affirmation impérative d'un Per-Ahâ venu du Sud pour unifier le "Deuxième Coeur", royaume privilégié par la promesse tenue dès l'arrivée sur les bords du Nil. 


    C'est dans l'énorme boucle effectuée dans le cours du Nil, comme en une intention précise par le Très-Haut, que le pontife et les prêtres reconnurent l'endroit trois fois sacré où se reconstruisit le Cercle d'Or qui fut englouti bien longtemps auparavant dans l'Ahâ-Men-Ptah. Ses rescapés se mettraient à l'ouvrage immédiatement afin que renaissent dans la gigantesque construction dorée, les Combinaisons-Mathématiques-Divines.



     


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    La Bible est présente  parmi les grands mythes de l'humanité, mais le mythe de l'Atlantide représente beaucoup pour moi.

    Je l'ai découvert en lisant les livres d'Albert Slosman, la grande hypothèse, le trilogie des origines (le grand cataclysme - les survivants de l'Atlantide - ...et Dieu rescussita à Dendhéra), la vie extraordinaire de Pythagore, Moîse l'Egyptien. Dix livres étaient prévus après Moîse, mais cette série a été interrompue par la mort de Slosman en 1981. Le dernier livre que Slosman avait prévu devait s'intituler l'Eternité n'appartient qu'à Dieu.

     Dans les autres publications, on trouve l'astronomie selon les Egyptiens, le livre de l'au-delà de la vie et le zodiaque de Dendhera.




     Ma lecture de "La grande hypothèse" va porter surtout sur le grand cataclysme qui est sans doute une autre façon de voir le Déluge de la Bible. Je crois que tous les grands mythes de l'humanité parlent de ce qui a dû être une catastrophe naturelle que la terre aurait subi il y a 14000 ans selon Slosman. Les 3 grandes pyramides d'Egypte et le Sphinx seraient selon lui un témoignage des survivants de ce évênement à l'adresse des générations futures et un avertissement qui a un écho particulier aujourd'hui où on parle de plus en plus de fin du monde . L'émission de la chaîne 4 (apocalypse en 2012) est significative à cet égard.


    De "la grande hypothèse", le Figaro écrivait alors: la "construction qui s'acomplit devant nous est peut être un des évênements de notre temps". Et Slosman le définissait ainsi: "c'était en définitive une histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'éternel était Yahvé, mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures! A chaque ère céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".


    "C'est une Histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'Eternel était Yahvé mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham, mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique Créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures. A chaque être céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".    Albert Slosman



    Sommaire de mes messages:

              1)   Le hasard existe t-il?

              2)   Le destin s'écrit-il aussi?

              3)   Le grand cataclysme.

              4)   L'âme Atlante n'est pas perdue.

              5)   Les rescapés de l'Ahâ Men Ptah.

              6)   La résurrection de Ptah à Dendérah.

              7)   A la découverte du grand labyrinthe.

              8)   Le cercle d'or & à la découverte de Dendérah, l'ère du Taureau

              9)   L'ère du Bélier: Moïse le rebelle et Dieu oublia l'Egypte (Cambyse le fou).

              10) L'ère des Poissons: Jésus le Christ.

              11) L'éternité n'appartient qu'à Dieu - Pour notre temps.


     


    4) L'AME ATLANTE N'EST PAS PERDUE!


    M. Flamand assimilait les béliers à  sphéroïde à l'Amon-Râ des Egyptiens, car il y a une parenté certaine avec les figures gravées du Sahara. Mais Amon est aussi le dieu-Bélier de l'eau dans toute la Berbérie, où le mot Berbère pour dire eau est "Amon", tout comme chez les Guanches des Canaries.   Raymond Furon (Manuel de préhistoire générale).

    On exagère l'abscence de changements matériels, parfois; mais l'identité de l'âme Berbère, à travers toutes les vicissitudes, est vraiment une force de la nature!   J. Célérier (Histoire du Maroc).

    En 1973, A. Slosman n'avait pas encore fait le rapprochement entre l'Amenta du livre dit "des morts" et ce pays englouti lorsqu'il parvint au Maroc pour sa convalescence suite à son accident...

     

     

    Ta Ouz (le lieu d'Osiris?)

     

     

     

     

    La teneur de certains textes des bords du Nil se rapportant au "Lieu du Couchant" ou Ta Mana en hiéroglyphique lui laissait supposer que cette terre était le Maroc, puisque ce nom ne lui était donné qu'en français, gardant sa signification arabe: "Mogreb el-Aqsa" ou le "Pays du Couchant". Il devint ici lecteur de la bibliothèque du ministère des mines et put connaître la géologie, la minéralogie et la structure géophysique des terrains avoisinants comme ceux des Canaries, ces "Iles fortunées".(que certains, comme ici, placent en Islande). Comme son sol sablonneux était constellé de millions de coquillages non fossilisés, il n'y avait aucune impossibilité pour que cet endroit se trouve au bord de la mer et serve de lieu d'accostage et d'abri à des rescapés d'un naufrage 10 000 ans avant notre ère. Ce fut là qu'il entendit parler de Tamanar, village situé à une soixantaine au nord d'Agadir et dont un très vieux prophète en faisait la renommée dans le Maroc tout entier. Puis, pour Ta Ouz, 

     



    il en alla de même, et les géologues autochtones lui expliquèrent ce qu'était ce lieu et lui donnèrent littéralement la clé du passé le plus antique. (Les sépultures de Ta Ouz semblent être datées d'au moins 5 000 ans avant notre ère, (voir le texte le Maroc avant l'histoire). ). L'endroit était un site minéralogique exceptionnel où le fer jouait un grand rôle et où l'état du sol prouvait qu'il y avait eu un énorme bouleversement géologique, mais c'était aussi "un lieu sacré" où des centaines de tells étaient en réalité des mastabas, ou des nécropoles funéraires, dont l'antiquité se perdait dans la nuit des temps. Ce fut accidentellement qu'il entendit parler de Ta Ouz  par des géologues!

    Une équipe d'aventuriers Allemands avait été interceptée pendant qu'elle découpait un morceau de paroi couverte de gravures rupestres d'une antiquité très reculée!... Son esprit galopait et tout indiquait que que ce lieu était un site extraordinaire pour la curiosité, mais aussi pour le recueillement. L'itinéraire pour y parvenir était ponctué de d'autres endroits intéressants, comme Midelt, dans le Moyen-Atlas entre Meknès et Ksar-El-Souk. De tout temps, Midelt avait extrait de son sous-sol du plomb et du cuivre en grosses quantités. Or, comme l'Aurichalque était intéressant en tant que métal utilisé par les grands-prêtres de Ptah, il pouvait y avoir une affinité avec l'aurichalcite marocaine qui se trouvait en grande quantité dans la région.

    Auricalcite

    Après une année de recherches le long d'une route truffée de gravures rupestre et de hauts lieux, de discussions et de palabres, avec les spécialistes et les autochtones qui lui transmettaient les traditions ancestrales, A. Slosman parvint à ébaucher un tracé de l'exode des rescapés de l'Ahâ-Men-Ptah. Le pays qui devint le Maroc était à l'époque antécataclysmique une sorte de colonie Atlante. Elle était la terre la plus proche du continent disparu, devenant de ce fait Ta Mana. Les métaux y jouaient un rôle primordial pour les constructions et le outils nécessaires aux usages domestiques. Le plomb et le cuivre étaient recherchés sur le territoire Marocain, car ils étaient quasiment inexistants sur celui de la mère patrie. De même pour certains minéraux protecteurs contre les influences maléfiques des rayonnements astraux. Ces minéraux se retrouvèrent dans la Bible à propos du pectoral porté par Moïse et qui lui permit, grâce aux influx dégagés, de conserver l'unification des douze tribus d'Israël. Mais si,à cette époque, Moïse n'avait pu récupérer que quelques "pierres", les autres étant des ersatz, au temps d'Ahâ-Men-Ptah, les douze minéraux avaient une influence précise dont la réunion apportait "longue vie, force et santé", comme le précisent les titres d'un Pharaon dans les papyrus. Non seulement ceux de Ptah en conservaient un usage religieux et politique, mais ceux de Râ avaient accepté cette formule sous une autre forme, tel Ramsès le Grand, grâce d'autres minéraux. Une de ces pierres fut retrouvée fortuitement à Midelt par A. Slosman.  Midelt est située dans le Moyen-Atlas, sur un plateau à 1500m d'altitude, cerné lui-même par de hautes montagnes. Deux cols à plus de 2000m, en autorisent seuls l'accès au nord et au sud. Après avoir été "adopté" par une famille Berbère et de longues discussions, il put rechercher l'origine des mines de plomb et de cuivre. Les Français avaient foré les puits au 19ème siècle, mais ils n'avaient pas parvenus à cet endroit en déclarant : "c'est ici qu'il faut creuser. Manifestement il y avait eu des extractions avant eux. Il fut alors conduit vers un endroit peu éloigné des mines actuelles mais caché derrière une montagne. Là, d'autres puits désaffectés et bien plus anciens prouvaient que les Espagnols étaient passés par là deux siècles auparavant. Eux aussi n'avaient pu arriver en ce lieu désertique et déclarer y trouver des métaux précisément à cet endroit en déclarant "c'est ici qu'il faut creuser".  Une nouvelle confidence lui apprit qu'il y avait eu des prédécesseurs qui avaient été... des Romains. Il visita alors des vestiges sur la route de Meknès à 3km de Midelt, bien en retrait et totalement invisibles de la grand-route. Ces puits étaient bel et bien de l'époque des Césars, tant par le dessin des voûtes que par l'architecture des galeries souterraines. Des dépôts importants de minéraux se trouvaient encore entassés là, comme s'ils n'avaient pas de valeur, n'étant pas du plomb. Qu'est-ce qui avait poussé les Romains en ce lieu? Après bien des tergiversations, des hésitations, une peur irraisonnée d'une malédiction, ses amis Berbères lui apprirent  qu'à l'origine, bien avant avant les Romains étaient venus...des Géants pour organiser l'extraction! D'où le nom d'Atlas donné aux montagnes, car leur roi était aussi haut qu'elles! Après de nouveaux atermoiements, Slosman ils furent bien plus loin, sur la route de Meknès. A une quinzaine de km de Midelt, un chemin les mena vers un énorme haut-plateau avant de parvenir devant un paysage infernal et lunaire: la mine des Géants! Il s'agissait d'une vaste plaine bouleversée d'immenses trous et de petits elles de teinte grise sur fond noir. Au fond de chacun de ces cratères creusés de main d'homme, des êtres, aux temps les plus reculés, extrayaient des minerais pour en faire des outils et des bijoux ciselés, alors que d'autres vivaient en France dans des cavernes enfumées en mangeant de la viande crue. A la fin il réussit à se faire descendre dans un puits dans une sorte de nacelle en osier. mais le résultat fut décevant: le puits s'ouvrait sur une galerie de hauteur 1,70 m environ qui n'aurait certainement pas pu laisser passer un géant! Les auteurs n'étaient donc pas des fils d'Hercule ou de Titan même si leur intelligence était de beaucoup supérieure à la nôtre.  Mais Slosman pouvait partir sur des bases solides: celles qui ont donné le thème des "Survivants de l'Atlantide".

    magnétite

    A Ta Ouz, tout était différent parce que en plein désert. Des défilés plus ou moins ensablés longeaient cette bande invisible séparant les deux pays. Puis le paysage changeait, d'abord caillouteux, il laissa voir des blocs de roche noirs incontestablement d'apparence métallique. C'était du fer à l'état pur, hématitemagnétitesidérite...La boussole y battait la chamade et ne servait plus à rien. L'atmosphère était très étrange. Il faisait plus de 60° et il n'y avait d'ombre nulle part. L'odeur était particulière, car ce métal chauffé depuis des millénaires, renvoyait son propre rayonnement mais il y avait autre chose d'indéfinissable.

    hématite

    Les géologues parlèrent du site funéraire  situé au bout d'un Oued desséché, et qui aboutissait à l'endroit où il y avait des centaines de gravures rupestres, celui-là même où une patrouille militaire avait intercepté les vandales qui avaient découpé la roche pour l'emporter! Arrivés à cet endroit, après bien des difficultés, ils eurent l'impression de pénétrer dans un autre monde. Ici, plus de pierres, mais nouveau le sable recouvrant tout....Des collines à perte de vue, apparemment composées de sable aggloméré. et au centre, l'une d'elles, beaucoup plus haute. Ils chuchotaient, impressionnés, ils étaient sur un site funéraire, l'enclos sacré, trois fois saint, dans lequel il ne fallait pas pénétrer, car les temps n'étaient pas encore venus.Le guide creusa plus d'un mètre avant que n'apparaisse un amoncellement de pierres jointes, incontestablement par des mains humaines. Puis il remit le sable en place et s'empressa de remettre la pelle dans un autre véhicule. Alors seulement Slosman se rappela se rendit compte d'un phénomène inexplicable qui ajouta à son trouble: il commençait à chasser les mouches importunes qui foisonnaient par dizaines de milliers! Or, tout le temps qu'il était sur le site funéraire, aucun insecte n'avait été présent à cet endroit!

    L'enclos fut contourné pour revenir à l'est de cet panorama exceptionnel, là même où les rescapés de cette bataille avaient fui après avoir gravé dans les roches des dessins étranges et des textes. C'est par centaines que ces gravures existent, partout! Et c'est là que les vandales entreprirent d'enlever par morceaux entiers l'histoire la plus antique de ce pays. Il n'y avait aucun doute que si Ta Mana signifiait "le Pays du Couchant", Ta Ouz voulait dire le "Pays d'Ouzir"; or le Fils de Dieu avait pour nom Osiris en phonétique grecque. La boucle était bouclée. Il ne restait plus qu'à aller à Tamanar, pour vérifier s'il s'agissait de l'antique Ta Mana des textes égyptiens, l'endroit où avaient accosté les rescapés de l'Ahâ-men-Ptah.

    Il voulut attirer l'attention gouvernementale sur "les réserves inépuisables de minéraux précieux dans la région du Midelt" ce qui déplut forcément à ceux qui voulaient y organiser un trafic et revint vers Agadir qui subit le tremblement de terre qu'on connaît. Mais en 1974, c'était redevenu une localité agréable où les hôtels de luxe se disputaient en opulence à ceux des meilleures plages de la Côte d'Azur. Quand les langues se déliaient, on racontait des légendes que se transmettaient les indigènes, qu'un autre effroyable séisme avait changé la face du monde quelques milliers d'années auparavant. Le soleil lui-même, au lieu de se lever à l'ouest, s'y était couché subitement, pour ne plus, depuis, réapparaître qu'à l'est. D'où cette définition de pays du couchant pour le Maroc, donné par les rescapés de cette aventure, après avoir accosté "là", tellement l'évènement les avaient marqués. Tamanar était sans doute le point central de ce "là". Ces vieux Marocains racontaient ce récit, identique à ceux des textes Egyptiens, sans les connaître, mais que leurs ancêtres perpétuaient oralement de père en fils depuis des temps immémoriaux. C'est alors qu'un de ses nouveaux mais chuchota à Slosman qu'il ferait bien de "monter voir le Père de tous". Il avait déjà entendu parler à Rabat d'un prophète, un très vieux patriarche qui connaissait aussi bien le passé que le l'avenir et qu'il était très difficile d'approcher. Seuls le notables ou Hassan II pouvaient le rencontrer et lui parler. Alors comment faire? Il lui fut répondu de ne pas s'en faire à ce sujet, s'il devait le rencontrer, cela se ferait...

    En arrivant dans ce lieu enchanteur très vallonné, il sentit le regard noir des autochtones et une opposition nette à ses recherches, une animosité silencieuse presque palpable. Je résume ici le récit qu'en fait A. Slosman:

     

    "La seule personne susceptible de me renseigner sur l'antiquité de ce lieu était le chef d'une famille Berbère dont les rides attestaient l'âge avancé. Mais il ne parlais pas français et je passais par mes jeunes amis géologues pour comprendre ses paroles. et je ne perdis pratiquement rien des nuances et du sens primordial de l'ensemble de la conversation.

    Il était incontestable que la tribu des Berbères était la descendante de ceux qui, des millénaires auparavant, avaient accosté à cet endroit au bord de la mer. certaines familles s'étaient implantée ici et avaient fait souche afin d'assurer le arrières du reste des rescapés qui partaient à la recherche de "Ta Meri",le "Coeur Aimé". Il fallait que les métaux et le ravitaillement suivent. Lorsqu'il devint inutile d'envoyer tout cet approvisionnement, un deuxième point fixe ayant été établi bien plus en avant (cette implantation devint sédentaire et donna naissance à la grande tribu des Kabyles), ceux qui étaient implantés à Ta Mana y restèrent. Non seulement parce que le climat était sain et la culture facile, mais l'extraction des métaux et des minéraux devait se poursuivre. La troisième raison, plus spirituelle, était que le site funéraire de Ta Ouz devait être toujours être protégé, jusqu'à ce que les temps soient venus de révéler la vèrité avant qu'un cataclysme plus radical encore ne détruise totalement le terre!

    Comme mon vis-à-vis savait que je revenais de la terre trois fois sacrée où gisait l'Aîné, il ne me faisait somme toute aucune révélation, me confirmant ce que je savais déjà. Comme je ne posais aucune des questions qui me brûlaient les lèvres,  le vieil homme prit les devants, en me signifiant qu'un autre, plus éclairé que lui, descendant des "Grands  Voyants " de ses ancêtres, m'expliquerait très en détail ce que j'avais besoin de savoir pour avancer dans mes recherches. Lui n'était qu'une âme retrouvée parmi les âmes perdues!

    Avec mes guides nous partîmes dans la direction qu'il nous avait indiquée. Il ne faisait plus aucun doute que tout était prévu par une puissance supérieure afin que je persévère dans le chemin qui s'ouvrait devant moi. Ma position de convalescent relevant d'un très grave accident facilitait sans doute l'approche de l'homme hors du commun que j'allais rencontrer, car mes douleurs terribles avaient développé certaines facultés mentales et spirituelles. Au bout de la route goudronnée, un chemin de terre escaladait une colline jusqu'à un monticule où "il" nous attendait sur le pas de la porte de sa maison, appuyé sur une grosse canne. En un français parfaitement compréhensible, il me dit simplement; "entrez", tout en faisant signe à mes deux amis de rester à l'extérieur.


    Ce qui se passa là, durant trois quarts d'heures, est probablement la chose la plus extraordinaire que j'ai vécue. Le début de l'entretien me mit tout de suite dans une ambiance si particulière qu'il me sembla devenir témoin d'une scène vécue douze millénaires auparavant! le patriarche, qui n'avait cessé de me scruter, me dit sans préambule: 
    -Tu te trouves ici même à l'endroit où le Fils a été rescussité par ses deux soeurs, avec l'aide de Dieu, pour que la multitude renaisse, pour revivre dans l'obéissance de la Loi de l'Eternel. Dieu étant Dieu, sa colère seule est à craindre lorsque l'on tente de percer certains mystères qui ne concernent que l'avenir. Es-tu prêt à payer ton lourd tribut à cette dure loi de l'existence humaine? 
    -N'ai-je point assez payé?
    -Le Fils est rescussité ici il y a douze mille ans parce qu'il était le Fils. Ce n'est pas ton cas, quelle que soit la tâche que tu assumes. Ce n'est donc pas à moi de répondre à ta question, mais à Celui dont tu cherches à interpréter les actions. Il peut être pire de dévoiler l'avenir que de le garder caché.
    -Mais je ne cherche pas à lire dans l'avenir! Tout semble s'être ligué afin que je comprenne la vie passée d'un peuple. Si cela est, c'est afin que je le répète à ceux qui seraient heureux d'avoir  cette connaissance essentielle pour leur survie.
    -Dans ce cas précis, connaître le passé, c'est agir sur l'avenir. Seul Dieu est Maître de l'Eternité, et à ce titre, tu t'attireras bien des haines, des jalousies et des ennuis!... 
    -... la difficulté réside en toi, car les temps ne sont pas venus d'apporter toutes ces révélations. Il te faudra doser lentement leurs publications afin que tout soit prêt le moment venu.
    Dans ce cas, il n'y a aucune difficulté puisque je n'ai consulté aucun éditeur.
    -Ce sera difficile au contraire, car si les débuts seront lents, et pleins d'aléas par rapport aux résultats que tu auras obtenus, lorsque tu seras à mi-chemin, le succès appellera le succès et c'est à ce moment qu'il faudra que tu aies la volonté et la force nécessaires pour freiner la divulgation de la connaissance. 
    -Mais pourquoi?
    -Chaque chose doit venir en son temps: avec le cycle qui lui permet de s'accorder à l'harmonie divine. Chaque ère a son rythme particulier. Celui du Taureau a eu Ousir, comme celui du Bélier a pris le Soleil pour se désolidariser de de la Création du Créateur... L'ère des Poissons s'achèvera dans la Chaos à moins qu'il n'y ait un sursaut de l'Ame des humains, avec un nouveau Fils qui soit un nouveau Sauveur...
    -Plusieurs prophètes l'annoncent déjà et ce ne sont pas les livres que je publierai qui changeront quelque chose à cela. 
    -Ne sois pas trop modeste! La réaction à tes ouvrages peut devenir fort cupide, amis aussi soudainement avide qu'elle est capable de rejeter les faux prophètes qui auront prédit des catastrophes qui ne se seront pas produites! Cela a été le cas à plusieurs reprises ... Même après Ousir, lorsque les prêtre du Soleil haussèrent le bélier tel un dieu en lui plaçant un globe sur le crâne, les idoles furent mises à bas par plus sauvages qu'eux. Et Amon est devenu depuis ce temps mémorable le dieu de l'eau dans toute la Berbérie, car "amon", en berbère signifie l'eau, donc l'espoir de vivre. Celui de conserver éternellement l'eau pour ses besoins, mais aussi l'espérance au coeur de ne plus jamais revoir le symbolisme de bélier en idole à la place de Dieu. Cela a été dans l'ordre des choses puisqu'un Messie est arrivé à la fin de l'ère du Bélier. Il en ira de même dans quelques années avec la disparition de l'ère des Poissons. Dieu sera foulé aux pieds, renié, et tout le monde le suppliera le moment venu de rescussiter avec un nouveau Fils!
    -Quand cela se produita-t-il?
    -Tu l'apprendras tout seul au cours de tes recherches. Mais n'en n'annonce pas le temps trop vite!
    -Des êtres sans foi ni loi,que la cupidité poussera toujours vers le mal, tenteront d'utiliser cette Connaissance pour en dénaturer la Sagesse à leur seul profit. Il te faudra alors beaucoup te méfier...
    -Il me reste peu de temps à vivre; ce n'est pas à moi d'enfreindre la Volonté de Celui qui a conduit tes pas jusqu'ici. Je vais te laisser seul dans la pièce d'à côté, le temps que tu jugeras nécessaire pour y méditer. Tu peux y apprendre de grandes choses si tu le mérites, amis en pâtir au contraire si tu en es indigne! Veux-tu y aller?
    -Qu'est cette pièce?
    -Une chambre nue, où il te faudra rester à terre. Mais c'est à cet endroit précis qu'Ousir a rescussité. Il parle à ceux qui en sont dignes, mais punit les autres. As-tu le courage pour affronter le Fils?
    -Conduis-moi...

    Le temps n'est pas venu de décrire les trois heures très étranges et presque surnaturelles que je passai là. La narration romancée de la trilogie des Origines en est une réminiscence. Elle a été critiquée par les "spécialistes" comme complètement inventée parce que dialoguée et qu'aucun texte ne pouvait fournir un tel luxe de détails, ni de précisions. Les papyrus fournissent la trame véritable et essentielle de l'historique du continent englouti, autant que de l'exode vers "le Deuxième Coeur", l'Egypte. Mais cette publication a été possible grâce à la forme donnée à l'ouvrage. Et ce qui a permis ce luxe de précisions ne fut pas les inventions d'un cerveau débridé, mais le résultat d'une concentration entre deux esprits qui se rejoignirent un jour, à Ta Mana, au lieu précis de la résurrection d'Osiris. Les recherches bibliographiques intenses furent poursuivies à Chantilly et accentuèrent l'accumulation de détails allant dans la même direction de ce monothéisme pour l'Eternité, qui n'est qu'un éternel recommencement  n'appartenant qu'à Dieu.  

    Voyons maintenant le suite de l'histoire des "rescapés de l'Ahâ-Men-Ptah"

    

    la constellation d'Orion

     p

    

    Le Sphinx

    

    pyramide de Giseh

    


  • 3) LE GRAND CATACLYSME

     




    La Bible est présente  en permanence, parmi les grands mythes de l'humanité, mais le mythe de l'Atlantide représente beaucoup pour moi.

    Je l'ai découvert en lisant les livres d'Albert Slosman, la grande hypothèse, le trilogie des origines (le grand cataclysme - les survivants de l'Atlantide - ...et Dieu rescussita à Dendhéra), la vie extraordinaire de Pythagore, Moîse l'Egyptien. Dix livres étaient prévus après Moîse, mais cette série a été interrompue par la mort de Slosman en 1981. Le dernier livre que Slosman avait prévu devait s'intituler l'Eternité n'appartient qu'à Dieu.

     Dans les autres publications, on trouve l'astronomie selon les Egyptiens, le livre de l'au-delà de la vie et le zodiaque de Dendhera.

     

    Les ouvrages d'Albert Slosman  sont la base de ma réflexion, mais j'ai découvert les écrits  d'Anton Parks.  qui parlent de ce même mythe...

     

    La Bible est présente  parmi les grands mythes de l'humanité, mais le mythe de l'Atlantide représente beaucoup pour moi.

     Dans les autres publications, on trouve l'astronomie selon les Egyptiens, le livre de l'au-delà de la vie et le zodiaque de Dendhéra.


    Ma lecture de "La grande hypothèse" va porter surtout sur le grand cataclysme qui est sans doute une autre façon de voir le Déluge de la Bible. Je crois que tous les grands mythes de l'humanité parlent de ce qui a dû être une catastrophe naturelle que la terre aurait subi il y a 14000 ans selon Slosman. Les 3 grandes pyramides d'Egypte et le Sphinx seraient selon lui un témoignage des survivants de ce évênement à l'adresse des générations futures et un avertissement qui a un écho particulier aujourd'hui où on parle de plus en plus de fin du monde . L'émission de la chaîne 4 (apocalypse en 2012) est significative à cet égard.

     

    De "la grande hypothèse", le Figaro écrivait alors: la "construction qui s'acomplit devant nous est peut être un des évênements de notre temps". Et Slosman le définissait ainsi: "c'était en définitive une histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'éternel était Yahvé, mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures! A chaque ère céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".

     

    "C'est une Histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'Eternel était Yahvé mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham, mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique Créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures. A chaque être céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".    Albert Slosman

     

     

     

     

     

     

     

    3) LE GRAND CATACLYSME

    "Il traitait de l'exploit le plus grand, et qui eût justement mérité d'être le plus illustre de tous ceux que cette cité ai jamais accomplis. Mais par l'effet du temps et de la mort des acteurs, le récit n'est pas venu jusqu'à nous". Platon (Le Critias).

    "Peut-être avez-vous entendu prononcé le nom d'Atlas, et celui de la race qui descendit de lui en nombreuses générations? C'est, dit-on aussi, de lui que descendirent les nombreuses familles qui composèrent notre race. Hélas! ce fut jadis une nation heureuse et chérie de dieux aussi longtemps qu'elle honora le ciel. Jérôme Frascator (Siphilidis, chant III).


    "L'histoire du monothéisme" qui est l'objet de "la grande hypothèse", fait état d'un continent englouti à la suite d'un bouleversement cataclysmique. Quoi de plus normal que d'appeler cette terre "Atlantide", en français, tout comme Platon l'avait fait à la suite du sage Solon qu'il tentait de traduire en prose. Comme on l'a vu dans les premiers articles à propos de l'histoire de Slosman, ce dernier a sa propre lecture des hiéroglyphes, qu'il estime (et moi aussi) aussi juste que le "charabia" incompréhensible sur ce sujet de l'interprétation sacrée des textes, de la plupart des Egyptologues.


     

    Sommaire de mes messages:

              1)   Le hasard existe t-il?

              2)   Le destin s'écrit-il aussi?

              3)   Le grand cataclysme.

              4)   L'âme Atlante n'est pas perdue.

              5)   Les rescapés de l'Ahâ Men Ptah.

              6)   La résurrection de Ptah à Dendérah.

              7)   A la découverte du grand labyrinthe, le Cercle d'Or.

              8)   A la découverte de Dendérah, l'ère du Taureau

              9)   L'ère du Bélier: Moïse le rebelle et Dieu oublia l'Egypte (Cambyse le fou).

              10) L'ère des Poissons: Jésus le Christ.

              11) L'éternité n'appartient qu'à Dieu - Pour notre temps.


     


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    Ptah (eden-saga)

     Son nom hiéroglyphique : Ahâ-Men-Ptah ou "Aîné-Couché-de-Dieu". Ce nom a été contracté dans le livre appelé improprement "livre des morts" en Amenta. Il a cependant conservé sa signification originelle , celui de "Pays des Morts", "Pays des Bienheureux", "Pays de l'Au-delà". Ce pays était représentatif de l'Eden terrestre décrit par la Bible. Les monarques successifs furent traditionnellement les Ptah-Ahâ ce qui veut dire en hiéroglyphique "Aîné de Dieu". En effet tous descendaient en droite ligne du premier Fils de Dieu, donc de l'Aîné. Si nous phonétisons en français, Ahâ se lit Ahan qui, devenu Adam, reste l'Aîné. Ptah s'écrit aussi Phtah et dans une phonétisation grecque, où pi devient phi, Phtah Ahan devient Pharaon. Et "l'Aîné" de Dieu" devient "Fils de dieu". Ainsi après le cataclysme, l'Ahâ-Men-Ptah  ("Ainé-Couché-de-Dieu") est devenu pour les rescapés Ath-Kâ-Ptah (Deuxième-Coeur-de-Dieu") et en phonétisation grecque: Aegyptos, soit Egypte en français. Les coptes sont-ils les derniers descendants de cettre race illustre? Vont-ils révéler le fameux cercle dOr dont Slosman dit qu'il dout être dévoilé en 2016?

    Ce fut donc l'Eden originel où vivaient les Fils de la Lumière, ou Enfants de Dieu. L'Origine est l'Origine de chacun de nous, de tous, de tout: du ciel et de la terre, de leurs contenants et de leurs contenus! Que nous soyons athées ou croyants, nos pensées, au moins une fois se sont dirigées vers cette Origine, commune, unique, et son Créateur, qu'il soit appelé Dieu ou hasard (comme pourrait le décréter celui qui aurait vécu une partie de sa vie sans aborder l'autre). Et qui serait plus habilité pour parler de cette Origine que ceux-là même qui la vécurent et la racontèrent à leurs descendances en la gravant pour l'Eternité dans la pierre?...Ces textes dont les plus anciens se perdent dans la nuit des temps étaient déjà gravés sur les édifices religieux après le cataclysme bien avant que la hiéroglyphique ne reprenne son droit sacré. Tous concordent en une seule glorification, celle de Ptah, ou Dieu. Et tous s'achèvent en une forme de signal avertisseur, pour tenter d'éviter aux générations futures le renouvellement d'un grand cataclysme. 

    La métaphysique, surprenante par sa clarté, tant liturgique que théologique qui se dégage de cette connaissance prédynastique, fait dire que leurs auteurs représentaient une civilisation supérieure. Arrivée là par suite d'un exode, elle descendait d'un peuple infiniment plus antique ayant vécu sur une mère patrie disparue, mais où l'humanité vivait heureuse. Et les survivants de cet ailleurs voulurent graver dans la pierre impérissable leurs malheurs passés, afi de mieux convaincre ceux qui leur succéderaient des conséquences que leur désobéissance entraînerait immanquablement. Cette notion de divinité nécessitait un cycle de pensées abstraites dominantes et déterminantes, formé d'une longue addition d'observations, de réflexions et de méditations sur de nombreux millénaires. Ce qui explique en un certain sens, que le jour où fut atteint le maximum de spiritualité, une certaine forme d'inertie s'instaura sur toute chose et tout acte de la vie quotidiennement répétés. Les hautes pensées antiques qui relient l'âme à son Dieu furent submergées dès cet instant et cédèrent la place à un esprit purement raisonneur et des plus matérialistes. (C'est ainsi , dit Slosman, que je traduis les textes hiéroglyphiques).

    Pour bien comprendre ce peuple, il faut se replonger dans la signification primitive de leur spiritualité et dans une analyse rétrospective de leur psychologie. Songeons qu'aujourd'hui, bien des gens sont obsédés et étreints par l'angoisse (arrivée de l'an 2000 il y a quelque temps, peur de la fin d'un temps ou de la fin du monde...). Pourquoi ne pas admettre que ces ancêtre ayant vécu, eux, un Grand Cataclysme, n'avertissent pas, par tous les moyens en leur possession les générations de "cadets" à naître.

    Tout un peuple a vécu, bien des millénaires avant nous, un temps prévu et prédit pour arriver, sil ne revenait pas à une meilleure façon spirituelle de vivre. Tous les textes annoncent pratiquement les mêmes formules liturgiques. Slosman a choisi ceux gravés à Dendérah et groupés dans ce qui aurait dû être "l'Evangile selon les Egyptiens" s'il avait paru, consacré à la spiritualité primitive. Il l'a aussi appelée théologie tentyrique, de Tentyris, phonétisation grecque de Dendérah. Elle fait pendant à celle développée pour le culte d'Amon, le dieu solaire.Ce site est un temple, dont l'actuel est la sixième reconstruction d'après les plans originaux. Les autres sont encore enfouies sous le sable (les cherche-t-on?). cela rappelle étrangement les différentes constructions deTroie. C'est, d'après Slosman, à cet endroit précis que les arrières petits-fils des rescapés de l'exode du Grand Cataclysme parvinrent en premier après avoir parcouru des milliers de km depuis le Maroc, à travers le Sahara sans doute. (j'y vois des similitudes avec le fuite d'Egypte et l'exode des Juifs des millénaires plus tard).

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    Récit:

     

    "Au commencement, ces paroles enseignèrent les ancêtres,  ces Bienheureux de la Terre première: Ahâ-Men-Ptah. Ils y vivaient pareillement aux Images du Coeur-Aimé, le Coeur-Aîné. Ainsi furent les premières paroles: - Je suis le Très-Haut, le Premier, le Créateur du Ciel et de la Terre, je suis le modeleur des enveloppes charnelles et le Pourvoyeur des Parcelles divines. J'ai placé le Soleil sur un nouvel horizon en signe de bienveillance et en gage d'Alliance. J'ai fait s'élever l'Astre du Jour sur l'horizon de mon Coeur; mais pour que cela soit, j'ai institué la Loi de la Création qui agit sur les Parcelles de mon Coeur afin de les animer dans celles de mes créatures. Et cela fut".

    L'éternel est Dieu et il est à l'origine du tout. Il transmet non seulement la vie, mais son mode de vie par une prédétermination. Elle permettra de choisir entre les notions de bien et de mal et prédestinera les cycles de la terre jusque ce que le mal soit éliminé, peut-être avec les créatures qui en sont la cause. Ces rouages de la mécaniques céleste portent le nom imagé de "Combinaisons-Mathématiques-Divines". Ce sont les moteurs principaux, qui représentent les figures géométriques et les calculs mathématiques des mouvements célestes, ceux "des lumières errantes" par rapport aux "lumineuses fixes". De ces combinaisons, qui dépendent d'une seule loi formant l'univers, l'harmonie cosmique se réalise. Elles forment la base fondamentale de l'action céleste sur les Parcelles Divines,ces âmes insufflées par Dieu aux enveloppes charnelles humaines par l'entremise des "Douze" qui sont les Douze Soleils des douze constellations équatoriales célestes. Leurs radiations arrivent sur terre pour former la trame du canevas des douze souffles célestes (les Douze), qui frapperont le cortex du nouveau-né pour imprimer dans son cerveau la Parcelle divine, ou l'âme pensante humaine, essentiellement différente pour chacun grâce à deux principes:

             A) Les Douze, en parvenant sur terre, ont une position propre instantanée. Elles formeront les "Combinaisons-Mathématiques"  qui seront l'assignation d'une prédétermination native dans une destinée globale prévue par le Créateur pour ses créatures.

              B) Ces Douze Souffles, qui forment l'équateur céleste, sont appelées "la Ceinture" par la suite. De cette"Ceinture" émergent quatre Aînés qui sont les Quatre Souffles arrivant par les points cardinaux: Les Maîtres, dont les quatre Fils d'Horus sont les personnifications. Ce sont eux qui impriment le schéma vivant principal de l'âme.

     

    Ce fut ce préambule scolastique et sacré que les pontifesqui se sont succédé durant des millénaires dans "la Maison-de-Vie" attenante au "Temple-de-la-Dame-du-Ciel" à Dendérah, ont enseigné parcimonieusement aux seuls grands-prêtres. Cette école, dont l'origine remonte à l'arrivée des premiers rescapés en Egypte après une longue période d'exode, est authentifiée par les textes et les sépultures mises au jour sous la colline des Pontifes à moins de trois km du temple. Là "reposent" les "Sages parmi les Sages", les Bienheureux ayant eu connaissance de la Volonté divine. L'un d'eux enseignait sous un Maître de la IIè dynastie, 4000ans avant notre ère,  un autre sous Khoufou, le fameux Chéops. Le scribe royal de ce dernier pharaon signale que le temple fut reconstruit par son maître suivant les données retrouvées dans les fondations originales, écrites sur des rouleaux de cuir de gazelle par les suivants d'Horus, c'est à dire par les Aînés eux-mêmes, bien avant que le roi de la 1ère dynastie ne montât sur le trône. Ce fut donc par ces descendants directs que fut transmise la Loi divine, dont "les Combinaisons-Mathématiques" devaient permettre aux humains de se diriger eux-mêmes dans la Justice et la Bonté.

    Pour bien comprendre, il faut maintenant remonter bien avant cette seconde patrie, quelque 20000ans auparavant. Les ancêtres écrivaient:

    "Je suis moi, né de lui-même pour devenir le Créateur des Images qui lui seront semblables après la sortie du Chaos. Elles sont les contenants des Parcelles divines qui feront d'elles, éternellement, les Bienheureux du Soleil levant s'ils conservent la stricte obéissance de ma Loi. Car je suis le Passé d'Hier qui prépare l'Avenir du Soleil grâce aux Douze."

    Pour les sages antiques, comme on l'a vu, ces influences formaient le fil conducteur divin personnalisant chaque âme, qui était calculable exactement, puisque le canevas de base était reproduit suivant les mêmes coordonnées que celles qui avaient impressionné le cortex. L'âme humaine pouvait ainsi être en perpétuelle liaison avec l'âme céleste, si elle ne rompait pas elle-même l'accord préétabli dès la naissance. (Cela me rappelle étrangement le principe d'inséparabilité et de non-localisation de la physique quantique).

    Ainsi, cette phrase indiquant: "Je suis le Passé qui prépare l'avenir", est également une forme d'ultimatum qu'il ne convenait pas de prendre à la légère. Les Pontifes d'Ahâ-Men-Ptah avaient fort bien délimité le problème en cernant les pouvoirs directs qu'ils accordaient aux diverses solutions combinatoires, ayant remonté fort loin dans le passé, pour étayer solidement leurs observations. D'où cette accumulation de précisions sur le pouvoir des Douze.

     

    Remontons donc à une époque antérieure de 10 000 ans au Grand Cataclysme, du 25è millénaire avant notre ère. Le climat d'Ahâ-Men-Ptah était bien plus tempéré qu'aujourd'hui en son extrême nord. D'épaisses forêts recouvraient cette partie du territoire où la glace n'apparaissait pas encore. La trilogie Platonicienne donne bien des détails. Une luxuriante végétation croissait toute l'année, habitée de paisibles humais vivant dans des clairières aménagées en villages, mais aussi de grands singes d'un type disparu et ressemblant par la taille aux gorilles actuels, mais au faciès non "épaté".  Il y avait là aussi d'énormes mammouths végétariens et paisibles et des rhinocéros à quatre doigts, les acérothériums. (trouvés sur ce site d'Albi) et quelques vieux spécimens d'un gigantisme révolu et en voie de disparition. Tout au sud du continent, la nature avait étalé ses trésors les plus précieux, avec des montagnes et des plaines fertiles, d'où sortait tout ce qui peut faire les délices d'une humanité tranquille! Ces vastes étendues, propices au peuplement et à la méditation d'une race ne demandant qu'à s'élever vers son Créateur, bénéficiaient en retour, d'une abondance sans égale.

    De véritables villes s'étaient édifiées, les murs étaient faits de tronc d'arbres à peine équarris, la boue séchée comblait les trous et des feuillages secs assuraient l'étanchéité du toit. Mais Ahâ-Men-Ptah eut à subir un premier bouleversement, volcanique qui forma la mer du Nord, taillant d'innombrables brèches jusqu'à l'Islande actuelle. Il y eut une période de glaciacion, accumulant les glaces en une calotte polaire. La Sibérie, région alors assez tempérée, vit "brûler" sa verdoyante végétation et anéantir les mastodontes qui n'advient pu fuir à temps.

     

    Après cet avertissement, et à partir de cette date, l'histoire d'Ahâ-Men-Ptah commença réellement, la chronologie se servant de ce bouleversement que la mémoire humaine a entériné comme tel pour marquer les annales d'un début caractéristique.  Les érudits comprenaient de mieux en mieux les mouvements et les combinaisons célestes ainsi que les phénomènes bénéfiques et maléfiques qui en résultaient. Une méthode graphique fut instituée, ils observèrent attentivement et notèrent la marche des planètes, du Soleil, de la Lune, leurs figurations et leurs configurations, ainsi que celles aux formes plus géométriques des douze constellations de l'écliptique équatorial céleste, et celles encore plus lointaines (?) d'Orion et de Sirius, aux particularités singulières. Les répercussions des "Combinaisons" sur terre en découlèrent, tant en ce qui concernait le comportement des hommes que l'évolution de la nature.

    A la suite du mini-cataclysme, la vie s'était regroupée plus au sud. Les villages se reformèrent, les cabanes de troncs d'arbres furent remplacées par des huttes bien plus confortables, en brique crue et résistant à la poussée animale que le bouleversement avait entraînée vers cette zone plus hospitalière. Les ours, les cerfs, les éléphants, sans parler des loups pullulèrent soudain. Un autre quadrupède apparut, qui devint rapidement la plus noble conquête de l'homme, le cheval, ce qui donna l'idée de domestiquer d'autres races: les rennes, les élans, les gloutons et les boeufs musqués. Pour la chasse, les silex de jet disparurent pour céder la place aux arcs et aux flèches qui furent vite dotés de pointes métallique aiguisées sur le silex. Car le fer avait été trouvé à même le sol, amenant la recherche de matériaux semblables. Ainsi, l'hématite devint véritablement le fer. Elle provenait d'une mine à l'extrême sud, au bord de la mer. La découverte d'autres minerais et minéraux et leur utilisation rationnelle changea complètement la physionomie de la vie des habitants. Un nouvel âge commença avec le façonnage d'outils pour tailler les pierres et les assembler, comme l'habitude avait été prise de le faire avec les briques. Puis l'idée vint de construire des édifices religieux monumentaux afin que Dieu s'y plaise et vienne et vienne lui-même y trouver abri, tout au moins en esprit. 

     

    Une tranche de 50 siècles s'écoula ainsi, paisiblement parmi la population, surtout celle qui vivait à la campagne. Pour elle, les intentions de la divinité étaient évidentes: toutes ses libéralités étaient étalées sous leurs pas! Il y a juste à se baisser pour récolter et en profiter. Chacun y puise selon ses besoins et sans s'inquiéter si un autre en prend plus que lui!

    Durant ces longs siècles, cette nation douce ignora la haine, la guerre, la vengeance, le mépris. Elle exprimait sa joie par les fêtes populaires, où les danses et les chants s'exprimaient au mieux. A ce moment béni, naquit le premier Ahâ, l'Aîné, l'Adam. Comment? les textes ne le disent point, probablement parce que cela était encore loin du cataclysme, qui lui, fit l'objet de tous les rapports circonstanciés ainsi que des causes qui le déclenchèrent. Mais il est presque certain que l'histoire du couple royal de cette terre Edénique, Nout et Geb, était, en ce qui concerne la façon dont fut concu le dernier Ahâ, Ousir ou Osiris, le reflet exact de la naissance du premier Adam.

    La prospérité régnant de plus en plus, il n'y avait rien de plus à apprendre aux hommes pour qu'ils se servent de leur intelligence et se forgent une âme à l'image de Dieu. Les céréales et les cultures y foisonnaient. Les métaux du sol, cuivre, plomb étaient puisés à ciel ouvert, l'étain et l'antimoine dans des galeries à ras de terre, le fer, l'argent et l'or étaient exploités à plus grande profondeur. Les pierres fines étaient déjà recherchées par les femmes et artistiquement taillées. Les pierres dites "précieuses", ne l'étaient pas pour leur valeur financière, mais pour leur pouvoir bénéfique: elles étaient porteuses d'influx émanant, pour chacune de ces douze pierres, d'un des douze soleils des constellations zodiacales dont elles seules captaient les émanations, les respirations. Enfin, il y avait certains minéraux rares, fort recherchés pour leurs propriétés symboliques, telle l'aurichalcite aux reflets verdâtres chatoyants, au sein desquels rougeoyait le "Brasier Ardent", le symbole d'Ath-Mer, où se renouvelait l'éternelle jouvence du coeur.

    Les nombreuses forêts fournissaient toutes les sortes de bois nécessaires à la vie en société. Charpentiers et menuisiers, ébénistes et artistes utilisaient les bois durs et les essences rares, les transformant en meubles délicats de forme, ou en galères et embarcations de toutes catégories. Seul le sycomore, du type érable était formellement interdit, sauf après un rituel de bénédictions très strict.  Il était l'arbre sacré, l'An-Aubi, qu'uniquement un prêtre toujours pur pouvait approcher. Celui-ci devait en outre lui "oter la vie", après un rituel fort complexe, afin d'en extraire le "coeur" dans toute sa longueur, et en façonner les seize Tan-Auhi (les Tau, ou les Croix-de-Vie, appelées aussi "croix-ansées". Les possesseurs de ces "tabous" personnifiant le Vie étaient doués des bienfaits du Dieu Tout-Puissant. Un territoire spécial était consacré à la pousse du sycomore. Cet enclos s'appelait le Nahi et seul l'Ahâ en titre, toujours le Fils, en dehors des prêtre purs, pouvait y accéder pour y dialoguer en tête à tête avec son Père.

     

    La situation se dégrada petit à petit jusqu'à ce que naisse celui  qui deviendrait le dernier souverain avant le Grand Cataclysme!

    Ce fut Geb, avant dernier Ahâ de cet Eden. Son histoire, par son étrangeté, rappelle fortement celle de la Bible à deux reprises. La première concerne Eve, punie de sa cutiosité en croquant la pomme, et la seconde, Marie engendrée par Dieu, puisque Nout, l'épouse de Geb, fut dotée de son fils Ousir dans des conditions analogues. Lorsque le Pontife fixa la date du mariage de Geb et Nout, il ne restait que 51 ans à la terre d'Ahâ-Men-Ptah pour subsister au-dessus de la mer! Mais la veille du jour prévu, Nout devant devant l'enclos du sycomore sacré. Curieuse, et pensant que son titre d'épouse du Fils la mettrait à l'abri de représailles, la princesse y pénétra seule, "pour voir". Un peu lasse et étourdie par sa fugue, Nout s'assit contre l'écorce du sycomore. Les textes et les annales racontent:

    "La princesse Nout appuya un peu sa chevelure contre l'écorce du magnifique tronc, si vieux et si acceuillant. Du même coup, sa tète reposa contre l'arbre, et toute entière, corps et âme, elle connut instantanément la paix avec le monde extérieur; ses yeux se fermèrent sans qu'elle s'en rende compte! Sombrant dans un sommeil irréel, Nout n'eut pas le temps d'analyser ce qui se produisait, car son étonnement se changea en frayeur lorsqu'une clarté aveuglante, irradiante, l'enveloppa toute, la pénétrant de toutes parts à la fois. Ayant l'impression de se consumer, l'effroi le plus intense se saisit d'elle, mais elle ne put ouvrir la bouche pour hurler! Elle se réduisait en cendres, se liquéfiait, tout en vivant malgré elle le jour le plus radieux que la terre eut connu depuis son origine! Malgré le calme qui curieusement l'habitait, elle tenta d'ouvrir les paupières; elle ne pouvait même pas remuer les cils. Affolée d'être paralysée, elle se sentit sombrer dans l'inconscience, lorsqu'une voix au fond d'elle même, très ferme, mais infiniment rassurante, lui dit  "distinctement": "Mon Fils Ousir est désormais dans ton sein; ne crains rien à ce propos, car tu es fille de mon premier enfant: tu es celle que j'ai choisie pour m'aider à sauver encore une fois les hommes malgré eux! Ousir sera le signe de ma Puissance et de ma Bonté. Toi, Nout, tu en seras la mère vénérée.; Tu apprendras à Ousir, par les paroles que tu prononceras, que mon coeur est en lui, et que mon âme sera toujours avec la sienne pour qu'il exerce son pouvoir souverain... Ainsi soit-il fait!."

    Geb, entre temps, était prévenu par Dieu d'avoir à épouser malgré tout Nout, et d'attendre qu'Ousir soit né pour concevoir un autre fils, qui lui, serait né de la terre, et qui devrait s'appeler Ousit. Ainsi naquit l'aîné Ousir, puis sept mois plus tard, Ousit, le cadet. L'un était fils de Dieu, et l'autre, fils de Geb. D'où l'antagonisme lorsqu'Ousir  fut déclaré roi, successeur de Geb, alors que la vrai fils du souverain était Ousit, dont le nom dans la rébellion qui s'ensuivit  devint Sit, Seth pour le Grecs.  Puis naquirent les jumelles Nek-Bet et Iset, autrement dit Nephtis et Isis. Cette dernière épousa par amour Ousir, les augures annonçant que le Fils qui leur naîtrait serait le générateur de la nouvelle multitude issue des rescapés du Grand Cataclysme. L'enfant s'appela Hor ou Horus.

     

    Ce fut peu avant que ce dernier prenne la succession de son père, qu'Ousit attaqua la capitale d'Ahâ-Men-Ptah avec ses troupes rebelles, déclenchant ainsi le processus de l'engloutissement du continent, car Ousir ayant été apparemment tué  coups de lance par Ousit, la colère de Dieu se déchaîna sur les créatures et sa Création.

    embaumer les corps!

    Ce matin là, l'astre du jour sembla absent du ciel...Tout comme le ciel lui-même, car un épais brouillard, de clarté diffuse et rougeâtre, oppressant par son épaisseur, étouffait tout! Il absorbait les bruits, la clarté du jour et de l'air, ce qui rendait la respiration difficile. Une odeur amère et piquante, semblable au natrum qui embaumait le corps de morts, flottait et faisait trembler tous les vivants. Dans la capitale, chacun sut que le moment était bien venu de régler ses comptes avec Dieu. Le sacrilège de la nuit allait trouver sa punition divine. La panique fut pratiquement indescriptible, les annales le narrent de long en large. Une grande partie de la population valide courut vers la Palais royal chercher un refuge auprès du "Maître" à qui tout était possible. Les pauvres gens ne se souvenaient même plus qu'ils se moquaient encore ouvertement la veille de celui dont ils recherchaient la protection, et qui tentait quelques plus tôt de les décider à hâter des préparatifs d'exode. Les temps étaient accomplis. Dans sa toute-puissance, le Dieu de l'éternité allait punir ses créatures des innombrables pêchers qu'elles avaient commis, et lui, qui n'avait pas su les en empêcher, subirait le même sort. Des craquements sinistres montèrent des profondeurs, faisant trembler les pieds, puis le corps entier! Les pleurs, les cris de pitié, les hurlements, l'angoisse de toute une foule qui tentait d'implorer ce qu'elle avait bafoué et renié semblèrent suprêmement vains. Geb survint à ce moment, las et fourbu, mais tentant de faire acte de présence en l'absence de son fils, le Maître vers qui le peuple se tournait pour attendre un secours. Des clameurs s'élevèrent car il apparaissait de nouveau comme un Fils de Dieu. Mais il ne se sentait plus de taille à reprendre une autorité qui n'était plus la sienne, mais uniquement celle d'un dieu en colère. Pourtant ce moment si tragique avait été prédit si souvent et si longuement mûri avant son accomplissement.

    pirogue de papyrus

    Dans la rade, des milliers de barques  "mandjits", réputées insubmersibles, avaient été stockées et renfermaient un équipement complet de survie. Le vieux roi ordonna que les portes soient grandes ouvertes et que les militaires prennent position pour que les départs aient lieu dans le meilleur ordre possible. Le peuple, lui, descendait en se bousculant, en courant, traînant à sa suite un bric-à-brac invraisemblable d'ustensiles! Des volcans calmés depuis des millénaires se trouvèrent soudain pris de contractions. La pression des feux souterrrains devint telle qu'ils lancèrent haut dans le ciel une véritable pluie de terre pulvérulente s'agglomérant au brouillard et retombant jusque sur Ath-Mer. Une pluis solidifiée s'abattit sur la foule en marche vers les ports, écrasant les uns, assommant les autres; et l'enfer se déchaîna partout. Ce fut une ruée vers la rade, chacun abandonnant tout ce qu'il avait de précieux, Sur le port, une peur animale balaya tout sentiment humain; les militaires, résistant difficilement à leur propre angoisse, furent soudain renversés, écrasés, foulés aux pieds par une horde prenant d'assaut les frêles embarcations de papyrus, tressées extrêmement serré, puis enduites de résine et enfin de bitume pour les rendre imputrescibles et indestructibles. La terreur qui les tenaillait, et l'horreur de l'évènement incroyable qui se produisait firent perdre à cette horde toute notion de sécurité. Au lieu de ne monter qu'à dix personnes, les fuyards prirent les premières ""mandjits" d'assaut en se battant mortellement. Si bien que la première flottille sombra avant de partir avec tous ses occupants. Les volcans crachèrent alors la colère divine, recouvrant de lave les villages avoisinants. Les habitants, terrorisés, qui s'étaient calfeutrés dans leurs maisons, furent ensevelis sois un fleuve incandescent. Les montagnes ne résistèrent plus aux secousses imprimées au sol, des flancs se déchirèrent de toutes parts, d'autres éclatèrent et se volatilisèrent. Le tumulte atteignit son paroxysme, ce n'étaient plus quelques milliers, mais des centaines de mille que la terreur paniquait, qui se pressaient, se débattaient, s'entre-tuaient, plus aucun soldat n'assurant la sauvegarde des embarcations. Une poussée irrésistible se produisit, qui jeta les premiers rangs dans l'eau, les "mandjits" du bord ayant coulé de leur trop-plein de passagers. Les autres réussirent à vaincre la marée humaine et et embarquèrent loin du goulet d'étranglement afin de pas couler leurs frêles esquifs avant de détacher les amarres.

     

    C'était la fin de tous et de tout! La capitale et le continent tout entier s'affaissèrent rapidement sous l'eau!...

    Ce fut le 27 juillet 9792 avant notre ère, et cette date est certaine grâce à la carte du ciel gravée au plafond d'une salle du temple de Dendérah, plus connu sous le nom de "zodiaque", dès le moment de sa découverte par les savants qui accompagnaient le Général Desaix lors de la campagned'Egypte, déclenchée par Bonaparte.

     

    A suivre le prochain article: "L'âme Atlante n'est pas perdue".

     

     

     

     


  • La Bible est présente  parmi les grands mythes de l'humanité, mais le mythe de l'Atlantide représente beaucoup pour moi.

    Je l'ai découvert en lisant les livres d'Albert Slosman, la grande hypothèse, le trilogie des origines (le grand cataclysme - les survivants de l'Atlantide - ...et Dieu rescussita à Dendhéra), la vie extraordinaire de Pythagore, Moîse l'Egyptien. Dix livres étaient prévus après Moîse, mais cette série a été interrompue par la mort de Slosman en 1981. Le dernier livre que Slosman avait prévu devait s'intituler l'Eternité n'appartient qu'à Dieu.

     Dans les autres publications, on trouve l'astronomie selon les Egyptiens, le livre de l'au-delà de la vie et le zodiaque de Dendhera.



     

     Ma lecture de "La grande hypothèse" va porter surtout sur le grand cataclysme qui est sans doute une autre façon de voir le Déluge de la Bible. Je crois que tous les grands mythes de l'humanité parlent de ce qui a dû être une catastrophe naturelle que la terre aurait subi il y a 14000 ans selon Slosman. Les 3 grandes pyramides d'Egypte et le Sphinx seraient selon lui un témoignage des survivants de ce évênement à l'adresse des générations futures et un avertissement qui a un écho particulier aujourd'hui où on parle de plus en plus de fin du monde . L'émission de la chaîne 4 (apocalypse en 2012) est significative à cet égard.

     

    De "la grande hypothèse", le Figaro écrivait alors: la "construction qui s'acomplit devant nous est peut être un des évênements de notre temps". Et Slosman le définissait ainsi: "c'était en définitive une histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'éternel était Yahvé, mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures! A chaque ère céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".

     

    "C'est une Histoire du monothéisme des origines à la fin du monde que j'étais en train d'écrire, en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'Eternel était Yahvé mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moîse, d'Abraham, mais aussi d'Osiris. Et ce Dieu Un avait déjà été l'unique Créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures. A chaque être céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie".    Albert Slosman

     

     

     

    Sommaire de mes messages:

              1)   Le hasard existe t-il?

              2)   Le destin s'écrit-il aussi?

              3)   Le grand cataclysme.

              4)   L'âme Atlante n'est pas perdue.

              5)   Les rescapés de l'Ahâ Men Ptah.

              6)   La résurrection de Ptah à Dendérah.

              7)   A la découverte du grand labyrinthe, le Cercle d'or.

              8)   A la découverte de Dendérah, l'ère du Taureau

              9)   L'ère du Bélier: Moïse le rebelle et Dieu oublia l'Egypte (Cambyse le fou).

              10) L'ère des Poissons: Jésus le Christ.

              11) L'éternité n'appartient qu'à Dieu - Pour notre temps.

     

     

    La grande hypothèse 2) Le destin s'écrit-il aussi?

     

     

     

    Le chapitre 1) présentait "la grande hypothèse" D'Albert Slosman par un mystère: Le hasard existe-t-il? Pour continuer, et avant de pénétrer dans la légende "des survivants de l'Atlantide" qui introduisent à l'initiation à "la grande hypothèse, un point crucial doit être pécisé: le destin s'écrit-il aussi?

     


     

     

    Pour préciser le rôle du hasard et et entrer au coeur du mystère, le plus simple est de remonter le fil du temps jusqu'en 1942 où la deuxième année de l'occupation Allemande fut encore plus sinistre que les précédentes. Il venait d'avoir 17 ans, et ses parents, d'origine russe et israélo-allemande avaient disparu et il venait d'échapper  à des arrestations opérées par la Gestapo. Son frère, de genève, lui conseilla de contacter la Croix Rouge suisse en France occupée, dont la présidente était Mme Odette Micheli. Mais la veille du jour de la rencontre, il fit sa connaissance par "hasard", au cours d'une alerte, dans un centre d'accueil pour enfants. Il y eut un "courant" qui le galvanisa et il ressenti comme un choc pour cette nouvelle coîncidence!

    Il vécut mille aventures au cours de cette période, avec la Croix Rouge Suisse. Celle-ci recherchait alors des locaux pour recevoir plus d'un millier d'enfants. Un seul lieu semblait possible, prés du boulevard Henri IV. Mais d'autres organismes de secours s'occupaient ausi de cette recherche et il sembait possible d'obtenir que le centre d'acueil soit sur le site de l'Ecole Polytechnique, près du Panthéon. De plus, dans ce dernier site, tous les trophées des guerres passées se trouvaient encore dans ces locaux, à la merci du pillage nazi. Et le Général Von Stülpenagel, chef d'état-major des armées Allemandes en France, avait jeté son dévolu sur ces locaux. Il devait arriver le lundi suivant. Il apparut que le Maréchal Pétain accepterait de signer une réquisition valable  à condition de se présenter chez lui le lendemain avant 11 heures précises, heure à laquelle il pouvait intercaler cette visite à l'hôtel du Parc entre deux rendez-vous. Ce fut alors par hasard que  Slosman accompagna Mme Micheli à Vichy. Cette page d'histoire véridique devait faire l'objet d'une autobiographie, mais diverses raisons accidentelles ont fait que la publication n'a pas eu lieu, sauf les premiers feullets décrits dans le chapître de "la grande hypothése", "avec le Général Von Stülpnagel", qui replonge dans le vécu de cette période en 1942. Après avoir eu le feu-vert de Vichy, Slosman se retrouva face au Général. Cela aurait pu être terrible, mais finalement au cours de la rencontre, le Général "recula" en disant: "...ne vous retrouvez jamais en défaut avec les ordres du colonnel Oberg, ni avec les miens monsieur...". 

    Et ainsi, avec les enfants, ils restaient maîtres de lieux. L'Ecole Polytechnique était sauvée du martèlement des bottes Allemandes et  conservait ses trophées intacts dans ses caves. De plus, et c'était l'essentiel, elle permettait de recevoir et d'expédier encore plus d'enfants en Suisse. Slosman a certainement fait preuve ici de courage. Sil n'a jamais plus revu le Général, il n'en n'a pas été de même avec le Colonnel Oberg, qui fut l'instigateur de sa "punition à la Gestapo de Dole deux années plus tard!  Il transportait des produits pharmaceutiquespour les troupes résistantes, et fut intercepté par une patrouille de SS et amené au fort des Rousses, dans le Jura avant d'être évacué à Dole. C'était là qu'une nuit, les Rousses-en-bas furent incendiées et les SS emprisonnèrent des otages au fort suite à un attentat ayant coûté la vie à deux de leurs motards. Les membres du conseil municipal furent pendus au tremplin de saut. Il fut interrogé pendant six jours par le Colonnel Oberg, mais fut libéré grâce à Mme Micheli qui intervint (par une sorte de chantage) auprès du Général Von Stüpnagel. Il dût alors passer quatre mois dans une clinique de Lausanne.

    Après la libération, ne voulant plus utiliser de faux papiers, il rentra clandestinement en France pour reprendre son ancienne identité. Mais il fut de nouveau arrêté et accusé de désertion, suite à une "fiche" que les services français du Deuxième Bureau trouvèrent dans le centre de la Croix Rouge, émanant de l'ex directeur du centre devenu chef de maquis. Il subit alors un nouveau calvaire à la prison de Dijon, en l'attente de passer en cour martiale.

    Il s'expatria alors au Cameroun, où il reçut, un an plus tard, un livrte militaire le gratifiant de 18 mois de lutte active comme "engagé volontaire" dans l'armée française. Il se lia alors d'amité avec un vieux pasteur Camerounais à la retraite qui lui fit connaître la secte des sorciers du Fako. Ces derniers lui apprirent les prémices de ce qui lui servit par la suite en Egypte. Il passa sept années au Cameroun où il épousa la petite Madeleine de l'Ecole Polytechnique. Depuis, celle-ci a perdu la vie dans des conditions dramatiques.

    Plusieurs années après, il travaillait pour les Américains, dans un camp secret, sur une base de montage de radars, où il s'occupait des questions de sécurité civile. Alors, sur l'aéroport de la base, un appareil explosa en touchant le sol et brûla grièvement beaucoup de ceux qui attendaient au sol. Il fut grièvement brûlé et avala en abondance les produits d'extinction toxiques qui innondaient le sol. Il conserva les plus graves séquelles à l'intérieur de son corps et subit deux interventions chirurgicales aux yeux avant d'écrire son livre. D'hôpital en hôpital, il aboutit à Paris, à Bichat, où il fut installé seul, comme une momie, entre trente malades pulmonaires. C'était en 1956. Il fut alors déclaré mort cliniquement. Mais (encore le hasard?) l'interne du matin souleva son drap et se rendit compte que son bras n'avait pas la raideur cadavérique et que son pouls était presque normal (effet de la cortisone sur les drogues?).

    Après un premier séjour de onze mois, il fut envoyé en cure à Divonne-les-Bains, puis repartit pour Bichat où il récupéra la même chambre pour quinze mois. Tout son organisme était à refaire et cela prit du temps. A sa sortie, la situation avait changé, De Gaulle était chef du gouvernement. Il demanda à être "recyclé" dans un domaine qu'il avait connu sur la base Américaine (où il avait fait connaissance avec "le computer"), le radar. Mais il lui fallait un doctorat pour parfaire les études et obtenir un poste de professeur à Genève. Il faut alors revenir au "hasard" et à Mme Micheli en 1942. Dans la bibliothèque, il "dévorait"  tout ce qui concernait Phytagore avant de se plonger dans l'Egypte. Là il avait lu la fameuse citation gravée sur le fronton de l'école philosophique de Crotone par Pythagore lui-même: "Dieu a tiré la terre du Néant comme il a tiré le Un du Zéro pour créer la multitude". De là on passe au système binaire et à l'informatique et cete figuration fut le point de départ de sa thèse. Slosman se rendit alors en Egypte pour connaître les lieux où Pythagore avait été initié et en quoi ce pays avait autant pu l'inspirer.

    Il commenca une nouvelle route dans l'informatique qui le réinséra dans une condition normale apparemment, car aucune des séquelles de son accident ne se voyait extérieurement. Mais il était toujours dans l'attente d'un bouleversement dû à un nouveau "hasard". Cela se produisit sous la forme d'un accident de voiture en doublant un camion. Il eut la colonne vertébrale brisée net entre la quatrième et le cinquième cervicale. Dès son arrivée à l'hôpital, l'hémiplégie fut évidente. Cependant son coeur battait. On lui fit quatre trous dans le crâne sans l'endormir puisqu'il ne sentait rien. Ce ne fut qu'au bout de quatre mois qu'il ouvrit les yeux, remua le bras droit, et déclara à l'infirmière qui faillit s'évanouir, "j'ai faim". Mais que faire quand on est alité avec un énorme plâtre qui descend jusqu'à la taille, avec le seul bras droit de libre? Rien d'autre que manger ...et écrire.

    C'est là qu'il écrivit les chroniques de sa vie qui furent confiées à un journaliste de "la Suisse" et qu'il a récupérées après, mais qu'on ne retrouve pas éditées. Puis l'idée lui vint d'écrire une fresque sur l'histoire des religions Egyptiennes et de leurs dieux. Il pensait que la hiéroglyphique n'était pas traduite aussi clairement que le laissaient entendre les Egyptologues. Il avait eu confirmation de ce flou en compulsant au Caire, au collège jésuite de la Sainte Famille, les divers "dictionnaires" franco-hyiéroglyphiques des pionniers et décrypteurs des textes sacrés. Or, aucun de ceux-ci ne donnait la même signification pour un même idéogramme, et souvent, ils étaient en opposition totale.Il compulsa lui-même les écrits traitant du sujet qui le passionnait et dont il avait eu une splendide ouverture à Dendérah, à 800 km du Caire: celui de l'astronomie et des combinaisons mathématiques en découlant. Mais ce travail l'amenait loin du but pousuivi, puisqu'à l'origine, il n'y avait sur les bords du Nil qu'une religion monothéiste et un culte idolâtre émanant d'un frère cadet d'Osiris. Sur son lit d'hôpital, il se fit parvenir des ouvrages qui lui confirmèrent que les ancêtres des premiers pharaons venaient d'ailleurs, vraisemblablement de l'Atlantique, c'est à dire de l'Occident. Cette idée lui était venue inconsciemment au Cameroun, avec ce qu'il avait appris des Fakos: le Dieu de l'Origine y habitait pour surveiller ses créatures vivant à l'endroit ou seul restait aujourd'hui l'océan, et non dans les pays de l'Est où le soleil se lève.

    C'est ainsi qu'il lui devint nécessaire d'aller voir au Maroc, où dans certains endroits, les noms de lieux ressemblaient étrangement à ceux en usage dans la hiéroglyphique "du livre des morts": La Douat,Ta Mana et tant d'autres".  Et, (coïncidence ou hasard?), après des réexamens à Bichat, il fu amené à passer sa convalescence ...au Maroc. Il participa à des séminaires d'informatique et des géologues marocains l'entrâinérent au sud d'Edfou, dans le Sahara, pour y voir le lieu géodésique de l'ancien pôle nord, ce qui "prouvait" (?) qu'à un certain moment il y avait eu un basculement de l'axe de la terre. (lI veut que sa thèse l'amène à cette conclusion, mais même si cette conclusion s'avère érronée, ce n'est pas pour cà qu'elle est fausse et stupide!). Pour lui, les tells représentaient, d'après leur texture géologique, des glaciers littéralement éclatés suos l'effet de la chaleur subite qui les avait atteints. Il découvrit, à Taouz, un site funéraire très étrange. des Berbères lui expliquèrent que dans ce lieu saint était mort "un géant, fils du Dieu Unique, avec tous les soldats qui l'avaient défendu. Il y avait aussi un géant frère de sang, mais traitre au Père et qui l'avaient assassiné de frère à coups de lance".  Ta mana signifie "lieu du couchant" et "lieu des bienheureux", et Taouz veut dire le "lieu d'Ouzir" (donc Osiris?). Il était tombé providentiellement sur un lieu historique, alors loin des circuits touristiques, où le Polisario faisait souvent des incursions. Il vit aussi Tamanar, à 60 km d'Agadir, dont il sera question par la suite.

    C'est alors que l'idée germa qu'il n'y avait au fond qu'un seul Dieu en Egypte, et qu'il devait écrire "une histoire du monothéisme" avec pour seul point fixe la survivance des créatures de Dieu. Ses amis Berbères lui narrèrent leur origine "divine", ils venaient d'un "ailleurs idyllique" qui se perdait dans la nuit des temps et ils croyaient  en ce Dieu juste et bon qui les punis après désobeïssance.

    II revint en Egypte et y obtint les papyrus marhématiques, dits "de Rhind" qui, grâce sa formation informatique lui firent apparaître de véritables gouffres d'incompréhension que contenaient les dictionnaires en usage. Ainsi, il était en train d'écrire un histoire du monothéisme en voulant démontrer que le Dieu des chrétiens était le même que le Créateur originel. L'Eternel était Yahvé, mais aussi Ptah. Dieu était celui de Jésus, de Moïse, d'Abraham, mais aussi celui d'Osiris. Et ce Dieu-un avait dèjà été l'unique Créateur de la Création, celui qui inspira la Loi à ses créatures! A chaque ère céleste correspondait un Fils de Dieu, un Messie!

     

    En anticipant la fin de l'oeuvre, on peut écrire: fera-t-il toujours noir dans l'obscurantisme humain? Le noir deviendra-t-il apocalyptique à l'entrée du soleil en Verseau en 2016?...

     

    Cette oeuvre d'Albert Slosman aurait dû être, sous la dénomination générique "L'éternité n'appartient qu'à Dieu".

     

    A) LA TRILOGIE DES ORIGINES.

    1) Le Grand Cataclysme (paru en 1976).

    2) Les survivants de l'Atlantide (paru en 1978).

    3) Et Dieu ressuscita à Dendérah (paru en  1980).

     

    B) LA TRILOGIE DU PASSE.

    1) Moîse l'Egyptien (paru en 1981).

    2) Akhenaton, le Divin mortel (non paru).

    3) Et Dieu oublia l'Egypte (non paru).

     

    C) LA TRILOGIE DU FUTUR.

    1) Jésus le Christ (non paru).

    2) L'Apocalypse de la 8ème vision (non paru).

    3) L'éternité n'appartient qu'à Dieu (non paru).

     

    D) LA TETRALOGIE DU SAVOIR.

    1) l'Astronomie selon les Egyptiens (non paru).

    2) Les Mathématiques selon les Egyptiens (non paru).

    3) La Médecine selon les Egyptiens (non paru).

    4) L'Evangile selon les Egyptiens (non paru).


  • ethosthemovie.com/


    J'ai vu ce film dans le blog ami: http://somedaysornow.blogspot.com


    Vos commentaires sont les bienvenus.


  • Actualité En image : la super Pleine Lune du 19 mars

     

    Un article de futura-sciences

     

    "Fidèles au poste, les photographes amateurs de Futura-Sciences n'ont pas manqué le rendez-vous galant que leur avait fixé notre satellite naturel."

    • Découvrez les images de la Lune 
    Pleine Lune du 19 mars 2011 depuis la digue de Malo-les-Bains à Dunkerque.
    Pleine Lune du 19 mars 2011 depuis la digue de Malo-les-Bains à Dunkerque. © A. Cartier

    Défiant les néfastes prédictions que colportaient certains sites internet en mal d'audience à l'occasion de la plus grosse Pleine Lune de l'année, de nombreux internautes ont suivi nos conseils pour admirer le passage de laPleine Lune au périgée samedi soir 19 mars, un peu plus de 24 heures avant l'arrivée du printemps.

    Se levant aux alentours de 19 heures (heure française) dans la direction opposée au coucher du soleil, notre satellite naturel se trouvait alors à environ 356.000 kilomètres de nous, ce qui lui donnait dans le ciel un imposant diamètre apparent supérieur à 33 minutes d'arc.

    Certains observateurs ont composé avec les nuages
    Certains observateurs ont composé avec les nuages. © chyneuze

    Grand diamètre apparent et petits effets

    Telle situation s'était produite en décembre 2008 et ne se renouvellera pas avant novembre 2016. Comme toujours en astronomie c'est la météo qui a mis tout le monde d'accord. Certains n'ont rien vu du tout, d'autres ont jonglé avec les nuages et quelques privilégiés ont eu une soirée avec un ciel parfaitement dégagé. Aucune catastrophe planétaire n'a fait suite à ce phénomène.

    Comme l'ont rappelé de nombreux scientifiques, ces rapprochementsTerre-Lune sont assez fréquents et leurs conséquences sans commune mesure avec les puissantes forces terrestres internes qui sont à l'origine desphénomènes volcaniques et sismiques que connaît notre planète.

    L'impressionnant spectacle qu'offrait la Pleine Lune du 19 mars vue dans un télescope lors de son lever.
    L'impressionnant spectacle qu'offrait la Pleine Lune du 19 mars vue dans untélescope lors de son lever. © Bulb

    Merci aux photographes qui ont accepté de partager leurs images sur le site de Futura-Sciences. Retrouvez tous leurs clichés pris aux quatre coins de la France, mais également en provenance des Antilles et du Québec, dans la discussion de notre forum d'astronomie consacrée à la plus grosse Pleine Lune de l'année.

     


  • Blog ami:   au gré du vent et du soleil: la tramontane

     

    Toujours aussi beau ton blog. Le printemps et les fleurs me réjouissent.A dix ans, je dessinais des fleurs à partir d'un livre qui m'a beaucoup marqué: "les merveilles de la nature"

    Merci

     


    Contenu: la tramontane

     Ce vent qui amène le soleil : la tramontane 
    Dans le texte d'une de ses chansons, Georges Brassens qui n'était pas Catalan utilise le mot "tramontane" dans le sens premier à savoir signifiant le nord.


    Aujourd'hui la tramontane désigne le vent qui vient du nord et qui souffle sur la Catalogne.

    Ce vent, souvent fort est créé par la différence de pression entre la Méditerranée et les hautes pressions de l'Atlantique. Ce formidable mouvement d'air est guidé par les montagnes des Pyrénées et du Massif Central ou il s'accélère et arrive avec puissance et violence sur le Golfe du Lion.

    Ce mouvement d'air prend 3 directions et 3 noms différents:

    • La Provence, c'est le "Mistral"

    • le Languedoc, c'est le "Cers"

    • Le pays catalan, c'est la "Tramontane"

      Vent du Nord, Nord-Ouest.

       

       

     


  •  

     

    je n'arrive pas à installer de traducteur sur ce blog. Vous pouvez consulter le même article dans mon blog http://monblogdereflexions.blogspot.com Il y a un traducteur (translator)

     

    Dr. Timothy Leary, a huge influence on Robert Anton Wilson, developed the 8 Brain Circuits of ConDr. Timothy Leary, a huge influence on Robert Anton Wilson, developed the 8 Brain Circuits of Consciousness during his experimental procedures to re-program a person's mind trough the use of LSD.  RAW took this further in his books, "Quantum Psychology" and "Prometheus Rising".  

    sciousness during his experimental procedures to re-program a person's mind trough the use of LSD.  RAW took this further in his books, "Quantum Psychology" and "Prometheus Rising".  

    Take a look at the Circuits below and ask yourself which one you reside in...

     

    The Bio-survival Circuit is concerned with the earliest modes of survival and the basic separation of objects into either harmful or safe. This circuit is said to have first appeared in the earliest evolution of the invertebrate brain. It is the first to be activated in an infant's mind. Leary says this circuit is stimulated by opioid drugs. This circuit introduces a one-dimensional perception: forward and backward (i.e., forward towards food, nourishment and that which is trusted as safe, and backwards -- away from danger and predators). 

    The Emotional Circuit is concerned with raw emotion and the separation of behavior into submissive and dominant. This circuit appeared first in vertebrate animals. In humans, it is activated when the child learns to walk. Leary associates this circuit with alcohol. This circuit introduces a second dimension, up-down, linked with territorial politics and tribal power games (up, as in swelling ones body in size to represent dominance, and down, as in the cowering, tail-between-the-legs submissive stance). 

    The Symbolic Circuit is concerned with logic and symbolic thought. Leary said this circuit first appeared when hominids started differentiating from the rest of the primates. Leary believed this circuit is stimulated by caffeine, cocaine, and other stimulants. This circuit introduces the third dimension, left and right, related to the development of dextrous movement and handling "artefacts". (Also called by Leary The Dexterity-Symbolism Circuit; called by Robert Anton Wilson the Semantic Circuit.) 

    The Domestic Circuit. This circuit is concerned with operating within social networks and the transmission of culture across time. This circuit is said to have first appeared with the development of tribes. Leary never associated a drug with it. [However Endorphins and other "drugs" produced by the body itself during social interaction can be connected to this circuit. The lack of knowledge about the cause and mechanism of these drugs, as well as lack of a method to stimulating their production, would explain their non-mention in his works.] This fourth circuit deals with moral-social/sexual tribal rules passed through generations and is the introduction to the fourth dimension -- time. (Also called by Leary and Wilson the Socio-Sexual Circuit). 

    The Neurosomatic Circuit is the first of the right-brain, "higher" circuits which are usually inactive in most humans. It allows one to see things in multi-dimensional space instead of the 4 dimensions of Euclidean space-time, and is there to aid in the future exploration of outer space. It is said to have first appeared with the development of leisure-class civilizations around 2000 BC. It is associated with hedonism and eroticism. Leary says this circuit is stimulated by cannabis and tantric yoga, or simply by experiencing the sensation of free fall at the right time. 

    The Neuroelectric Circuit is concerned with the mind becoming aware of itself independent of the patterns imprinted by the previous five circuits. It is also called "metaprogramming" or "consciousness of abstracting". Leary says this circuit enables telepathic communication, and that this circuit is impossible to explain to those who have only left-brain activity and is difficult to explain to those with active fifth circuits. It is said to have appeared in 500 BC, in connection with the Silk Road. Leary associates this circuit with peyote and psilocybin. (Robert Anton Wilson called this circuit The Metaprogramming Circuit.) 

    The Neurogenetic Circuit allows access to the genetic memory contained in DNA. It is connected to memories of past lives, the Akashic Records, and the collective unconscious, and allows for essential immortality in humans. This circuit first appeared among Hindu and Sufi sects in the early first millennium. This circuit is stimulated by LSD, and Raja Yoga. (Robert Anton Wilson called this circuit The Morphogenetic Circuit.) 

    The Psycho-atomic Circuit allows access to the intergalactic consciousness that predates lif...













     

    NOTE:  If you are still in the first 4, do not feel bad.  Most humans never escape the second...


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     link bB:Blog TEMPLE ILLUMINATUS.COM (forums).

     

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    it's more pleasant and fascinating to imagine death in that way.

     

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  • linkwww.templeilluminatus.com/ (voir les forums - see forums)

     


    by William Butyeats 2fairiesler Yeats



     Fae Poetry by William Butler Yeats

    Scene: A circle of Druidic stones

     

    First Fairy: Afar from our lawn and our levee,
    O sister of sorrowful gaze!
    Where the roses in scarlet are heavy
    And dream of the end of their days,
    You move in another dominion
    And hang o'er the historied stone:
    Unpruned in your beautiful pinion
    Who wander and whisper alone.






    All: Come away while the moon's in the woodland,
    We'll dance and then feast in a dairy.

    Though youngest of all in our good band,
    You are wasting away, little fairy.

    Second Fairy: Ah! cruel ones, leave me alone now
    While I murmur a little and ponder
    The history here in the stone now;
    Then away and away I will wander,
    And measure the minds of the flowers,
    And gaze on the meadow-mice wary,
    And number their days and their hours--





    All: You're wasting away, little fairy.

    Second Fairy: O shining ones, lightly with song pass,
    Ah! leave me, I pray you and beg.
    My mother drew forth from the long grass
    A piece of a nightingle's egg,
    And cradled me here where are sung,
    Of birds even, longings for aery
    Wild wisdoms of spirit and tongue.





    All: You're wasting away, little fairy.

    First Fairy [turning away]: Though the tenderest roses were round you,
    The soul of this pitiless place
    With pitiless magic has bound you--
    Ah! woe for the loss of your face,
    And the loss of your laugh with its lightness--
    Ah! woe for your wings and your head--
    Ah! woe for your eyes and their brightness--
    Ah! woe for your slippers of red.






    All: Come away while the moon's in the woodland,
     

    WE who are old, old and gay,
    O so old!
    Thousands of years, thousands of years,
    If all were told:
    Give to these children, new from the world,
    Silence and love;
    And the long dew-dropping hours of the night,
    And the stars above:
    Give to these children, new from the world,
    Rest far from men.
    Is anything better, anything better?
    Tell us it then:
    Us who are old, old and gay,
    O so old!
    Thousands of years, thousands of years,
    If all were told.














    We'll dance and then feast in a dairy.
    Though youngest of all in our good band,
    She's wasting away, little fairy.

     

    A Faery Song

     

     

     

     

    yeats-2fairies.jpg

     

    Bio:

     

    W. B. Yeats

    Born in Dublin, Ireland, in 1865, William Butler Yeats was the son of a well-known Irish painter, John Butler Yeats. He spent his childhood in County Sligo, where his parents were raised, and in London. He returned to Dublin at the age of fifteen to continue his education and study painting, but quickly discovered he preferred poetry. Born into the Anglo-Irish landowning class, Yeats became involved with the Celtic Revival, a movement against the cultural influences of English rule in Ireland during the Victorian period, which sought to promote the spirit of Ireland's native heritage. Though Yeats never learned Gaelic himself, his writing at the turn of the century drew extensively from sources in Irish mythology and folklore. Also a potent influence on his poetry was the Irish revolutionary Maud Gonne, whom he met in 1889, a woman equally famous for her passionate nationalist politics and her beauty. Though she married another man in 1903 and grew apart from Yeats (and Yeats himself was eventually married to another woman, Georgie Hyde Lees), she remained a powerful figure in his poetry.

    Yeats was deeply involved in politics in Ireland, and in the twenties, despite Irish independence from England, his verse reflected a pessimism about the political situation in his country and the rest of Europe, paralleling the increasing conservativism of his American counterparts in London, T. S. Eliot and Ezra Pound. His work after 1910 was strongly influenced by Pound, becoming more modern in its concision and imagery, but Yeats never abandoned his strict adherence to traditional verse forms. He had a life-long interest in mysticism and the occult, which was off-putting to some readers, but he remained uninhibited in advancing his idiosyncratic philosophy, and his poetry continued to grow stronger as he grew older. Appointed a senator of the Irish Free State in 1922, he is remembered as an important cultural leader, as a major playwright (he was one of the founders of the famous Abbey Theatre in Dublin), and as one of the very greatest poets—in any language—of the century. W. B. Yeats was awarded the Nobel Prize in 1923 and died in 1939 at the age of 73.



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    Barbara Hand Clow joins us to talk about her books The Alchemy of Nine Dimensions, The Mayan Code and Catastrophobia. We discuss the nature of the Cosmos, Consciousness, Evolution, the Creation Blueprint, the Mayan Code and Barbara takes us though a Journey of the Nine Dimensions. We also talk about Catastrophe, the Global Elite, the Power Structure and their Fall. She is also the author of The Mind Chronicles: A Visionary Guide into Past Lives, Chiron: Rainbow Bridge Between the Inner and Outer Planets, The Pleiadian Agenda: A New Cosmology for the Age of Light. She teach classes with her partner and co author Gerry Clow. Topics Discussed: Alchemy of Nine Dimensions, Carl Johan Calleman, The Pleiadian Agenda, 9 Dimension of Consciousness, Center of the Earth, Akashic Records, Intuned to the dimensions, Health, Global Elite, The Pope, The Financial Collapse, Energy, Vatican, Sexual Abuse and the Catholic Church, The Galactic Underworld, The Mayan Code, 2011, Time Acceleration, Inquisition, Catastrophobia, Increase of Earthquakes, D.S. Allen & J.B. Delair, the Earth is Healing, the Regional Story, Atlantean Times, Paleolithic Layers, Regional Mind, Earth under Quarantine and more. A Riveting, Exciting and Positive hour two is coming up with Barbra Hand Clow. We go into some very interesting areas about the Global Elite, Reptiles, Hybrid Races, Interbreeding Bloodlines, Secrecy, Exposure and how the Powers Structure will Crumble under its own Weight. Is ET a part of the Global Conspiracy? We talk about Sexual Energy and the Connection to Power and Control, Changes in the Solar System, Frequency and the Cells, Time Acceleration, Natural and Manmade Made Catastrophe, Scalar Technology, Gravity, How Crop Circles are Formed as an Expression of the Nine Dimensions. We end talking about where the knowledge that is contained in the Mayan Calendar came from, the Pleiadians, who they are and what kind of Relationship we have with them.

    Barbara Hand Clow joins us to talk about her books The Alchemy of Nine Dimensions, The Mayan Code and Catastrophobia. We discuss the nature of the Cosmos, Consciousness, Evolution, the Creation Blueprint, the Mayan Code and Barbara takes us though a Journey of the Nine Dimensions. We also talk about Catastrophe, the Global Elite, the Power Structure and their Fall. She is also the author of The Mind Chronicles: A Visionary Guide into Past Lives, Chiron: Rainbow Bridge Between the Inner and Outer Planets, The Pleiadian Agenda: A New Cosmology for the Age of Light. She teach classes with her partner and co author Gerry Clow. Topics Discussed: Alchemy of Nine Dimensions, Carl Johan Calleman, The Pleiadian Agenda, 9 Dimension of Consciousness, Center of the Earth, Akashic Records, Intuned to the dimensions, Health, Global Elite, The Pope, The Financial Collapse, Energy, Vatican, Sexual Abuse and the Catholic Church, The Galactic Underworld, The Mayan Code, 2011, Time Acceleration, Inquisition, Catastrophobia, Increase of Earthquakes, D.S. Allen & J.B. Delair, the Earth is Healing, the Regional Story, Atlantean Times, Paleolithic Layers, Regional Mind, Earth under Quarantine and more. A Riveting, Exciting and Positive hour two is coming up with Barbra Hand Clow. We go into some very interesting areas about the Global Elite, Reptiles, Hybrid Races, Interbreeding Bloodlines, Secrecy, Exposure and how the Powers Structure will Crumble under its own Weight. Is ET a part of the Global Conspiracy? We talk about Sexual Energy and the Connection to Power and Control, Changes in the Solar System, Frequency and the Cells, Time Acceleration, Natural and Manmade Made Catastrophe, Scalar Technology, Gravity, How Crop Circles are Formed as an Expression of the Nine Dimensions. We end talking about where the knowledge that is contained in the Mayan Calendar came from, the Pleiadians, who they are and what kind of Relationship we have with them.


  • Reasons are there, for me to care
    Don’t know why ,just ask your eyes
    Unexplainable though, but can’t tell you
    Aspirations fly with wings of desire
    The poet in me, inspired by you
    Smell of desire, my love on fire
    Burning with passion and love on a ransom
    Would you resist, the tempted temptation
    The beautiful eyes and the rhythmic steps
    Couldn’t resist your hugs and kiss
    The will to care ,when love was there
    Left weak on knees to see you honey
    I did try, but couldn’t reply
    In shadows of happiness, I still cry
    Here I am with strength and wine
    Celebrating love and killing the pain
    I ditched the pain, sweet poison remains
    An unknown road, in memoirs I galore
    Can’t let go, my feelings on go
    Sanitizing me, for sanctity
    Burnt pictures of you, the heart remains.
    Inflated spirit ,asking  for more
    Do you know , now I love you more
    Days are there ,but nights are gone
    We talked on phone till wee of dawn
    Soft breeze surfaced, as I would breathe
    Beats are there ,the heart is gone
    Smell of your scent and solitude
    In a full moon to see you soon
    Life ran a mile ,I left with void
    Emptiness surrounds, weighs thousand pounds
    Love ain’t a crime ,it's always divine
    Forged harmless lies ,when truth had defied
    Still sweet and sane, no one left to blame
    With attire of words in a robe of love
    Etched every stone, carved out your name
    Just to explore,how deep it goes 
    Acceptance of loss,wins battle of love
    Still dream of rain, in her arms again
    To conquer the world ,with strength of love...


  • Milton Becerra: Drawing Now Paris! A series of Masks

    Born in 1951, in Tachira Venezuela, Milton Becerra began exhibiting his works in 1970, while still a student at Cristobal Roja School of Plastic Arts in Caracas. He won the first prize in the third Salon Nacional de Jovenes Artistas (National Salon of Young Artists) in 1973. In the same year he held his first solo exhibition at the Caracas Athenaeum.
    In 1976, after his first exhibition at the Caracas Museum of Contemporary Art, he began a series of explorations of natural landscape, to depict the manner in which the rivers are becoming polluted and the devastation of the land, influenced by Land Art movement of the time, marking the introduction of the movement in Venezuela.

     

    Milton Becerra offers a balance between the modern civilization and the most primitive and ancestral elements of the human culture. He is well known for his aerial installations, where ropes and stones intertwine to form large structures.
    In 1980, Becerra moved to Paris, where he still works and resides. His work is represented in numerous museums, foundations, and private collections internationally.

    " Drawing Now Paris," a series of Masks, Becerra's solo show will be on view at The Carrousel du Louvre March 25-28.
    Forcefully reviving the old figures of Indian gods inhabiting the banks of Orinoco, Venezuela, Milton Becerra's drawings are not, strictly speaking, mere works of art, they are also here to provide a spiritual force.

     


     

     


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    En témoignage de d'admiration pour mes blogs amis et autres qui m'ont ravi par leur beauté et leurs belles photos sur le fantastique et la féerie, je m'essaye aujourd'hui en présentant un message que j'ai intitulé fantastique et Éros. Je ne suis certes pas au niveau de ce que j'ai vu, que j'en sois pardonné!

    Je voudrais ainsi inaugurer une série d'articles sur la peinture.

     

    Fantastique et éros

     






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